Nationalité : France
Né(e) : 1978
Né(e) : 1978
Biographie :
Sylvie Marchal Kara est une auteure et enseignante française.
Elle grandit en Franche-Comté. Après des études de droit à Strasbourg, elle devient professeur des écoles dans les Landes. Elle est aujourd'hui enseignante spécialisée et s'occupe d'élèves ayant des besoins éducatifs particuliers.
Curieuse par nature, elle reprend en 2016 des études de psychologie à Toulouse en parallèle de son travail puis commence à écrire, sans penser à publier ses textes.
En 2020, elle participe au concours littéraire proposé par le journal 20 minutes. Le manuscrit du roman "Le disparu de la corniche" sera retenu pour faire partie des 4 finalistes parmi plus de 500 romans.
En 2021, l'auteure poursuit son travail et propose "Des pissenlits à travers le bitume" au concours Kobo Fnac des talents de demain. Il y trouvera ses mille premiers lecteurs puis il sera diffusé plus largement.
En 2022, l'auteure propose Socoa, son roman le plus sombre.
+ Voir plusSylvie Marchal Kara est une auteure et enseignante française.
Elle grandit en Franche-Comté. Après des études de droit à Strasbourg, elle devient professeur des écoles dans les Landes. Elle est aujourd'hui enseignante spécialisée et s'occupe d'élèves ayant des besoins éducatifs particuliers.
Curieuse par nature, elle reprend en 2016 des études de psychologie à Toulouse en parallèle de son travail puis commence à écrire, sans penser à publier ses textes.
En 2020, elle participe au concours littéraire proposé par le journal 20 minutes. Le manuscrit du roman "Le disparu de la corniche" sera retenu pour faire partie des 4 finalistes parmi plus de 500 romans.
En 2021, l'auteure poursuit son travail et propose "Des pissenlits à travers le bitume" au concours Kobo Fnac des talents de demain. Il y trouvera ses mille premiers lecteurs puis il sera diffusé plus largement.
En 2022, l'auteure propose Socoa, son roman le plus sombre.
Source : amazon
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Citations et extraits (3)
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Ce tout petit quelque chose, c'était un bout de tissu que Théo reconnaissait bien. Milan ne se séparait jamais de ce tout petit mouchoir en tissu bleu pâle et blanc. Le plus souvent, il était caché au fond de sa poche. Et quand il était très stressé, Milan sortait ce tissu et l'utilisait pour se frotter l'intérieur de la main. Comme un rituel. Comme un doudou qui fait du bien.
(p. 94)
(p. 94)
Une différence qui ne fournit rien à l'esprit n'est pas une différence.
(Goethe, épigraphe)
(Goethe, épigraphe)
Le soleil de septembre baignait la cour du centre médical pour adolescents de la Corniche. Il portait bien son nom, cet endroit. Il fallait être au bord du vide pour y être intégré.
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