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4.41/5 (sur 201 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Louveciennes , le 12/07/1875
Mort(e) à : La Rochelle , le 18/11/1962
Biographie :

T. Trilby, pseudonyme de Marie Thérèse Léontine de Marnyhac, est une femme de lettres française.

Elle a aussi utilisé les pseudonymes Mme Louis Delhaye (nom d'alliance) et Marraine Odette.

Elle reçoit une éducation stricte durant son enfance. En 1899, elle épouse Louis Delhaye, fils d'une famille d'industriels de Colombes. De leur union naîtra un fils.

Mobilisée dès les débuts de la Guerre, Thérèse fait son devoir comme infirmière auprès de la Croix-Rouge (et recevra la Légion d'Honneur). La paix revenue, elle reste plusieurs années à la tête d'un hôpital de grands mutilés.

Dans les années trente, elle s'occupera de jeunes filles en difficulté, poursuivra son activité au sein d’œuvres de la Croix-Rouge et donnera des conférences sur l'hygiène, notamment.

Elle débute à l’Écho de Paris à la suite d'un concours, dont elle gagne le premier prix en proposant une nouvelle qu'elle signe d'une devise anonyme. Le pseudonyme de T. Trilby semble faire son apparition en 1903, avec la publication de "Vicieuse", puis de "Flirteuse" chez Lamm. En 1910, elle publie "La Petiote", qu'elle dédie "à Maman".

En 1919, Trilby publie deux romans, "Ninette infirmière" et "Le Retour", inspirés par ces années difficiles.

Dès 1920, Trilby rejoint les éditions du Petit Écho de la Mode et propose douze romans dans la Collection Stella. A la même époque, elle entame une longue et riche collaboration avec Flammarion, qui deviendra son éditeur principal jusqu'en 1961 et qui proposera une quarantaine de romans de Trilby dans la collection Pour les Jeunes, illustrée par Manon Iessel (1909-1985), ainsi que dans les collections Cœurs, les Bons Romans et Théâtre pour les Jeunes.

Elle obtient le Prix de l'Académie française en 1949 pour : "En avant" et "Lulu, le petit roi des forains" (Prix Sobrier-Arnould).

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Source : http://nouvellesuzette.canalblog.com/archives/2011/01/03/19969250.html
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Bibliographie de T. Trilby   (55)Voir plus

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Citations et extraits (162) Voir plus Ajouter une citation
Lorsque tu te marieras, il ne faudra pas t’inquiéter de la fortune de celui que tu épouses. Occupe-toi de l’âme et de l’intelligence de l’homme que tu auras remarqué ; puis, quand tu seras sûre de l’une comme de l’autre, interroge ton cœur avec loyauté.
Demande-toi si tu es prête à te sacrifier entièrement pour cet homme, dis-toi que les mauvais jours peuvent être très nombreux, et vois si tu aimes assez pour ne pas craindre d’affronter avec ce compagnon les douleurs les plus grandes. Si tu te sens capable de tout supporter, si rien ne t’effraye, c’est que l’amour est près de toi… Alors épouse celui que tu as choisi, et si court que soit ton bonheur, il t’aidera à vivre toute ta vie…
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Ca y est ! s'écrie Riki, la porte est funèbre, elle manque de sourires. Une grille c'est bien plus joli, mais il faut probablement cacher les demoiselles de la Légion d'Honneur. Et elle ajoute en descendant : - Pour une prison, c'est une prison !
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Il doit appartenir à quelque princière famille des Indes et a été élevé dans le respect de cette famille, de sa race, qu'il croit supérieure à tout autre. A côté de ce défaut beaucoup de charme...
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T. Trilby
Si vous n'avez jamais éprouvé pour la France un sentiment filial, un sentiment qu'on ne peut comparer à aucun autre parce qu'il est différent, je vous plains. Mais moi, je suis Française, une Française qui ne se contente pas de le dire, et, quoiqu'il m'en coûte, j'agirai contre vous si à la caserne vous prêchez la révolution.
— Mes compliments, madame, vous avez tout prévu et je vois que vous n'êtes venue ici qu'en justicière. C'est un rôle que les femmes n'aiment guère, mais il est vrai que vous avez à vous venger et les choses sont ainsi faites que je suis ob5ligé de tout accepter.
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Je suis le maitre de mon destin, je suis le capitaine de mon âme.
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Le destin est là, le malheur rôde sans cesse autour des trop grandes joies, et, pour rappeler à ceux qui l’oublient que la terre n’est qu’un passage, il frappe aux portes closes derrière lesquelles on rit plus qu’on ne pleure.
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Quand on n’a pas souffert, je crois qu’on ne sait pas aimer. Moi je n’ai jamais été riche d’argent, mais j’étais riche de tendresse, d’affection, et je manquais peut-être de pitié pour les pauvres ; je m’apitoyais sur la douleur, mais je ne la comprenais pas. Dieu a voulu que je fusse malheureuse, notre amitié est née pendant ce temps-là. Je vous aime, Jean, infiniment et pour toujours. Je vous aime comme je ne vous aurais jamais aimé si j’étais restée heureuse. Les larmes, voyez-vous, sont nécessaires, elles préparent les joies, elles élargissent les cœurs.
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L’argent… l’argent… elle ne voulait pas l’aimer, elle ne voulait pas reconnaître sa puissance, et pourtant elle comprenait que c’était une force avec laquelle il fallait compter… L’argent, malgré tout, était un maître, et c’était parce que son fiancé n’en avait pas qu’elle était seule dans cette chambre et si triste que ses yeux s’emplissaient de larmes.
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Dans ce siècle, qui est le siècle de l’argent, ne trouvez-vous pas, mademoiselle, qu’on est très fier de mépriser ce métal. Je sais bien que les personnes graves et sérieuses me diront qu’il en faut pour vivre et que tout s’achète, tout se vend… Mais on doit limiter ses désirs et savoir se contenter de très peu. N’enviez personne et vous serez heureux.
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A neuf kilomètres de Matsoué, petite ville du Japon, se dresse sur une colline une belle maison à deux étages. Autour de cette maison des jardins merveilleux où la propriétaire, Mme Sidzouka, cultive les chrysanthèmes, la fleur nationale. Ces jardins en terrasses réunissent toutes les espèces de chrysanthèmes; Au moment de la floraison, il y a la terrasse blanche, immaculée, si somptueusement belle que les visiteurs autorisés à visiter ces jardins restent immobiles, surpris par tant de beauté, devant ces parterres où les fleurs se dressent les unes à côté des autres si pareilles qu'ils cherchent en vain la plus belle.
La terrasse jaune est éclatante et quand le soleil s'est emparé du ciel cette longue bande de terre semble en or.
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