Tadatoshi Fujimaki

Petit défi pour moi lors de la masse critique de décembre 2016, en choisissant ce manga !

Les mangas, bah oui, je ne connais pas ! J'en avais jamais lu avant.

Par contre, à la maison, il y a quelques amateurs !

Et en l'occurrence, là, j'ai voulu faire plaisir à ma quinzans.

Kuroko's basket, ça fait déjà un petit moment que je le vois écrit dans sa wish list.

Je remercie donc Babelio et les Kazé éditions, pour m'avoir donné l'opportunité de partager quelques instants de complicité avec ma fille, autour de cette lecture.



Comme je le dis plus haut, c'était une grande première pour moi ! Un vrai challenge ! Parce que je dois dire que le sujet ne m'intéressait pas plus que ça au départ...

Qu'est-ce que je ne ferais pas pour mes enfants, hein...

Je découvrais donc tout.

Il m'a fallu un petit temps d'adaptation pour m'habituer à la lecture de droite à gauche, le temps de l'introduction, quoi, mais on s'y fait très bien. Ca devient vite naturel.

Je me suis assez vite prise au jeu !

Sans connaitre absolument rien de l'animé et de toute la série de mangas qui a précédé celle- ci, j'ai réussi à me retrouver dans les personnages, à apprécier ce qui les caractérise et fait leurs différences.

Je me suis surprise à être sensible aux suspens et à la tension qui règne durant toute cette première mi temps du match.

Il faut dire que les membres de l'équipe américaine sont particulièrement arrogants !

Et qu'on a bien envie de leur faire bouffer sévère leur fierté de sales gosses prétentieux !

... Oups ! Pardon...

Il me tarde de me procurer la seconde mi temps maintenant...

C'est très frustrant de devoir attendre un second volume pour connaitre le résultat de cette rencontre, mais ça fait parti du jeu...



Ma fille, elle, en grande amatrice de ce genre de lecture -c'est une vraie passionnée de tout ce qui est culture asiatique et plus particulièrement, japonaise. Elle apprend d'ailleurs la langue depuis la rentrée - a été attirée dans un premier temps par l'animé. C'est pourquoi, elle avait très envie de découvrir "la génération miracle" dans ses aventures, sur papier.

Elle a trouvé les dessins réussis, en adéquation avec l'animé. Les scènes d'action sont bien représentées, les émotions bien retranscrites.

Elle a aimé les bonus entre chaque quart temps.

Je dois dire que moi aussi, ils m'ont beaucoup amusée.

Original,sympathique !

Drôle et divertissant !

Il lui tarde à elle aussi de connaitre l'issue de ce match d'Extra game.



Un manga qui ravira à coup sûr tous les amateurs du genre !

Mais pas que... J'en suis la preuve vivante !

Ce n'est pas ce qui me fera lâcher mes thrillers, mais force est de constater que j'en ressors avec une belle satisfaction.

Le tome cinq ne nous laissait pas tellement présager d’une fin de match joyeuse. On avait d’ailleurs déjà senti que le mangaka, Tadatoshi Fujimaki, n’était pas forcément du style à toujours faire gagner l’équipe de ses héros, leur permettant ainsi de rebondir par la suite. En plus d’être plus réaliste, je trouve que cette façon de voir les choses permet de travailler plus facilement les personnages et de les étoffer au fur et à mesure. Sans compter que pour le lecteur, c’est tout de même plus excitant.



Cependant, malgré la tournure des choses dans le tome six, j’avais un petit espoir. Il est difficile, lorsqu’on s’attache à des personnages, de leur souhaiter des défaites. Du coup, j’ai trouvé ce tome assez triste dans le fond car on a cette impression constante et cela dès le début que rien de positif ne va arriver. Le pire étant de voir les espoirs et rêves de certains personnages s’écrouler. On s’inquiète donc forcément de la suite des événements. L’équipe de Seirin va-t-elle relever la tête ? Au contraire va-t-elle imploser ? Quels changements vont se produire ? Tant de questions qui font que la fin est assez difficile à digérer.



Après, comme d’habitude, on ne s’ennuie pas. Je ne comprends toujours pas les termes techniques, ni réellement les contraintes du jeu (enfin, je sais quand même comment on joue au basket, je vous rassure) mais cela ne gêne absolument pas. C’est ce que j’apprécie dans ce manga. Il s’adresse en fait à un public très large et le basket reste le moyen de voir évoluer les personnages. Il ne s’adresse pas qu’aux fans de basket !



Ce que j’ai un peu regretté par contre, c’est le fait que le tome six met surtout en valeur les prouesses de l’As de la génération miracle, alias Aomine. Il est quasiment impossible de sonder Kuroko aussi. C’est dur de voir que le mangaka traite son personnage (qui rappelons le quand même est aussi une partie du titre du manga) comme lorsqu’il est sur le terrain. Quasiment invisible. J’aurais aimé savoir ce qu’il se passait dans sa tête durant le match et pas seulement une ou deux répliques. J’ai donc hâte de voir ce qu’il va se passer dans le tome sept !

Je dois avoir un truc avec les manga traitant de basket. Je suis pas une sportive (loin, très loin de là) et je ne regarde pas non plus de sport (quelques compétitions de temps en temps, mais je pourrais très bien vivre sans)... Et pourtant, j'ai beaucoup aimé Kuroko's Basket de Tadatoshi Fujikami. Merci au passage à Babelio et Kaze, car c'est grâce au dernier masse critique que j'ai eu la chance de découvrir cette nouvelle série. Donc après Crazy Kouzu Basket Club de Hiroyuki Asada sensei (mon mangaka préféré ! ^^), je vais craquer pour Kuroko's Basket (ça tombe bien en plus car j'étais en manque de manga).



J'ai accroché au tout début pour les mêmes raisons qui m'ont fait adhérer à Crazy Kouzu Basket Club, à savoir la rencontre entre deux personnalité tout à fait différente : Kuroko et Kagami. L'un est carrément invisible aux yeux de tous et l'autre a un égo tellement incroyable qu'on ne peut pas le louper. L'un est clame, l'autre excité comme une puce... En clair, deux adolescents que l'on aurait jamais imaginé devenir amis si le basket n'avait pas été leur passion commune. C'est d'ailleurs cela avant tout qui me plait. Ce n'est pas vraiment une histoire de sport, de basket, mais plus d'une passion. Je pourrais comparer Kuroko's Basket à Honey and Clover alors que ces deux manga sont totalement opposés, mais pourtant ils ont cette trame en commun : le parcours d'adolescents à travers une passion qui les anime et les pousse à aller au delà d'eux-même. C'est pour cela que je ne m'arrête plus vraiment à des thèmes restrictifs en ce qui concerne mes lectures. Ce manga parle de sport ? Et alors, j'ai envie de vous dire ! ^^



Ce n'est bien sûr qu'un premier tome et il est difficile de savoir si le potentiel que l'on peut voir dans ce "prologue" poursuivra son ascension, mais j'ai de bons espoirs là dessus. Tout d'abord parce que c'est une histoire à la portée de tout à chacun. Les personnages sont attachants, on a tout de suite envie de savoir comment ils vont évoluer, se dépasser. Il est aussi facile de s'identifier à eux ce qui est assez primordial pour moi. Et puis ça bouge pas mal (sport oblige, me direz-vous !). Dès les premières pages, le décor est planté et on sait qu'on ne va pas s'ennuyer une seconde. Sans compter l'humour toujours présent, les toutes premières pages qui nous expliquent l'existence de cette "génération miracle" donne l'eau à la bouche. Un peu comme dans "Prince of tennis", cela nous présage des affrontements haut en couleur avec bien entendu des prouesses totalement hors normes et irréalisables dans la vraie vie, mais on veut du spectacle après tout !



Donc un quatre étoile, et une nouvelle série à suivre ! Un petit vent de fraicheur entre deux romans young adulte, en attendant avec impatience le tome deux pour savoir si l'équipe de Kuroko et Kagami va mettre la pâté au premier "génération miracle" qu'ils rencontrent.

Je remercie vraiment Babelio pour m'avoir fait découvrir la série Kuroko's Basket, car plus j'avance dans l'histoire, plus je suis fan. Et à une époque où les éditeurs sortent un peu tout et n'importe quoi comme manga, c'est plutôt une bonne chose pour moi (surtout que j'arrive à la fin de presque toutes mes séries en cours). Et même si je trouve, avec du recul, qu'il y a de très nombreux points communs avec la série d'Hiroyuki Asada, I'll, il n'en reste pas moins que Tadatoshi Fujimaki sait toujours autant me charmer (et avec du basket qui plus est !).



Ce tome trois, comme les deux précédents, montrent une nouvelle fois l'évolution de l'équipe de nos héros, mais plus encore il nous montre les liens et la dynamique qui font que ses membres ont un potentiel insoupçonné. Vous allez me dire que ce sont les héros, et que de toute façon, ils sont "obligés" de gagner... Oui, peut-être bien. Mais même s'ils ne cessent de progresser, je ne peux pas m'empêcher d'avoir une certaine appréhension lorsqu'un match se déroule. Car au final, je me dis, qu'à un moment où un autre, ils risquent de perdre. Pour sûrement mieux se relever par la suite, mais ils ne peuvent pas toujours gagner. Si jamais Tadatoshi Fujimaki les rend invincibles, je pense que l'histoire perdrait beaucoup de sa saveur et de sa crédibilité.



J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié ce tome pour la mise en avant de certains membres de l'équipe qu'on ne voit pas forcément. Je pense que le duo de Kuroko et Kagami est certes très important, mais comme ce tome le prouve, c'est avant tout l'ensemble des joueurs qui fait une équipe et qui peut mener à la victoire. L'histoire est d'ailleurs pleine de bons sentiments. Pas dans le mauvais sens du terme, attention. Je trouve justement que le mangaka a su influer un bon état d'esprit dans son histoire, sans pour autant être trop guimauve.



J'attends donc la suite avec impatiente !

Critique de Lolokili-Junior dans le cadre de l'opération Masse Critique BD.

Merci beaucoup à Babelio et Kazé Editions !





* * *

N'étant pas une fan de basket, le nom de ce manga ne m'a, au début, rien inspiré de spécial. Pourtant, au fil de ma lecture, l'histoire racontée m'a très vite plu. En effet, s'il s'était agit d'un club de basket ordinaire et d'une histoire banale sur son fonctionnement, cela aurait pu ne pas me plaire. Mais ce qui a fait, pour moi, l'originalité de ce manga, c'est la part de mystère et un peu de magie entourant les différents personnages.



Etant passionnée de mangas pour ados (appelés shônen) comme Naruto, Les Chevaliers du Zodiaque ou encore Fairy Tail où la magie et le fantastique sont bien présents, je recommande donc ce manga aux fans du genre.



Un oeil exercé pourra parfois déceler dans le dessin quelques incohérences minimes dans la morphologie des personnages (comme un bras ou une jambe trop petits par rapport au corps) mais l'histoire prenante de deux joueurs ayant les mêmes objectifs, agrémentée d'une touche d'humour et d'un style de dessin agréable, m'ont fait oublier ces erreurs et j'ai pleinement apprécié ce manga. A tel point que j'ai du coup acheté le tome 2 qui m'a également beaucoup plu.




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Je vais commencer par la fin, mais étant donné que je viens juste de finir ce tome, c'est la partie qui m'a le plus scotchée. Car la fin de ce tome quatre est comme la coupure publicitaire lors d'une émission télévisuelle lorsque le suspens est à son comble. Vous pensez que l'auteur ne peut pas être aussi cruel, eh bien si ! A trois secondes de la fin du match, au moment le plus critique, vous avez le mot fin qui apparait juste en bas, fatidiquement, c'est le cri de mécontentement que je n'écrirais pas ici, mais que vous devez connaître ! Mais en soi, je trouve cela très palpitant. Frustrant, certes, mais cela place le lecteur dans une bonne dynamique, comme si au final, il regardait réellement un match. On est obligé de retenir notre souffle jusqu'au tome cinq, et tout peu se jouer. C'est l'art du suspens !



Le reste du tome est aussi très passionnant. Je me répète mais j'aime réellement cette série, alors que je ne m'y connais pas du tout en basket et que je ne suis pas sportive pour un sous. Et pourtant, je suis entièrement dans le match, et j'apprécie tout autant de lire les tactiques que les joueurs ou leurs coachs élaborent au fur et à mesure. L'analyse du jeu est assez prenante, et j'aime aussi beaucoup voir les joueurs se dépasser et essayer d'aller de l'avant face aux obstacles.



Je vous l'accorde, cependant, on se retrouve très souvent dans des situations à la "Olive et Tom" (pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un manga et un anime centré sur le football avec des techniques irréalisables mais qui envoient et sont très spectaculaires). Je ne pense pas qu'un joueur puisse faire un panier en shootant de l'autre bout du terrain. Je me trompe peut-être, mais ça me semble irréalisable de faire un trois points comme ça. Mais je m'en moque tout aussi bien. Ce côté un peu "spectacle" rend les matchs plus intéressants, moins monotones aussi, et puis j'ai été élevée aux animes façon "Olive et Tom", donc pour moi, c'est presque normal.



L'autre côté très positif de ce tome quatre est l'une de ses morales. Je crois que chaque tome met en avant une spécificité du sport collectif et renvoie ainsi un message très positif. J'aime ce genre d'initiative chez un auteur, quel que soit son support, surtout si la "morale" n'est pas niaise. Ici Tadatoshi Fujimaki met en avant le fait qu'une victoire est une victoire en équipe. Si elle repose sur un seul joueur, elle n'en est pas vraiment une. Cela peut paraître assez bête parce que oui, c'est un sport collectif, mais cela rappelle un peu ces équipes qui misent tout sur un joueur vedette, et lors de la victoire, il n'y en a que pour lui. Mais s'il avait réellement été seul sur le terrain, il n'aurait pas gagné. Un message qui peut d'ailleurs être associé à beaucoup d'autres situations, et qui envoie une note positive au lectorat de Kuroko's Basket.

Basket extra game est le prolongement (qui se décline en deux tomes) d’une série célèbre comptant pas moins de 30 volumes ! L’équipe de basket japonaise junior surnommée « la génération miracle » va se reformer pour prouver à des américains plus qu’arrogants qu’au Japon on sait aussi jouer.

N’étant pas très « manga » malgré les efforts répétés de mon fils pour me prouver la qualité de cette littérature, j’avoue m’être prise au jeu de cette aventure sportive et envisager de me procurer le second tome pour connaître l’issue de ce match... Passé les difficultés dues au sens de lecture, on se retrouve à tourner les pages en retenant son souffle à chaque péripéties. Une bonne surprise en somme pour moi et un bonus que les amateurs de cette série devraient apprécier !!!

Merci aux éditions KAZE et à Babelio pour cette jolie découverte.

D'habitude je suis assez fan de l'univers basket (Slam Dunk, Real, I'll), pourtant je ne suis pas vraiment convaincue par ce titre.

La série a tous les éléments qui font un bon manga : une intrigue avec un but a atteindre (vaincre les membres de la génération miracle), des dessins dynamiques, des personnages hors du commun. J'ai vraiment apprécié la spécificité de Kuroko c'est ce qui fait réellement l'originalité du titre.

Malheureusement je trouve le manga trop prévisible au niveau des relations des personnages et personnellement j'en ai mare de suivre toujours un duo de choc, les autres membres de l'équipe étant la pour combler les cases vides et montrer que le sport c'est quand même dur ...

J'espère sincèrement que le tome deux m'apportera plus de satisfaction.

Ce tome deux clôt le match que nous avions laissé dans le précédent tome. Je dois avouer que je ne pensais pas du tout que le match se terminerait de cette façon. Je ne suis pas une fana de sport mais dans les quelques séries, animes et manga que j’ai pu découvrir sur l’univers du sport, il y a plus ou moins toujours le même schéma en ce qui concerne l’équipe des héros. Mais en même temps, ce match était vraiment bien. D’une part parce que Tadatoshi Fujimaki ne se cantonne pas à ne parler que de basket et à nous étouffer avec des termes techniques que la plupart d’entre nous ne comprennent pas. Il se focalise aussi sur la personnalité des joueurs, la dynamique de l’équipe, les ressentis de tous. Et d’autre part parce qu’il rend le basket accessible à tous ses lecteurs et même si on n’y connaît rien et qu’on ne comprend pas les termes utilisés, on entre dans le jeu et on a envie de voir gagner l’équipe de Kagami et Kuroko.



Ce tome nous permet aussi de découvrir les senpaï de l’équipe. On avait rapidement vu le capitaine de Seirin, Hyuga, mais là, on nous présente vraiment l’équipe titulaire. Donc les visages que l’on voyait sur le terrain ne nous sont plus inconnus et on ne se demande plus : « Mais c’est qui lui ? ». Pour ma part, c’est très important, car même si il y a clairement deux héros (Kagami et Kuroko), il n’en reste pas moins qu’ils jouent tous les deux dans une équipe et que sans eux, il n’y aurait pas de jeu.



On rencontre aussi un autre membre de la génération Miracle, Shintaro. Je crois que je n’ai jamais autant vu de joueur de basket avec des lunettes ! Je ne sais pas pourquoi le mangaka fait une fixette sur ça, mais on en est déjà à trois joueurs et vous en conviendrez que jouer avec des lunettes, surtout au basket, ce n’est pas vraiment évident ! Enfin, c’est un détail. Shintaro, même si on ne le voit que très rapidement, semble être un personnage « tête à claques ». Trop sûr de lui, à fond dans les horoscopes, méprisant… Il n’a pas vraiment de quoi plaire. Autant Kise était arrogant, mais au moins, il ne se prenait pas la tête et il était tout de même sympathique. J’espère juste que les autres membres de la génération miracle ne seront pas comme Shin. Je n’aime vraiment pas ce genre de personnages. Qu’il soit balèze et donne du fil à retordre à nos héros, cela m’énerve un peu (c’est normal après tout) mais je ne supporte pas l’arrogance et le mépris… J’attends tout de même un peu, il a peut-être un bon fond finalement. Allez savoir !



Kagami et Kuroko sont fidèles à eux-mêmes dans ce tome. Kuroko est toujours « invisible », calme à en faire peur (même quand il est excité et qu’il a envie de jouer, on ne voit pas la différence !). Par contre, j’ai bien aimé le voir avoir envie de jouer alors qu’il n’était pas vraiment en forme. Je ne sais pas mais c’est comme si, il s’était réveillé tout à coup et que l’amour du basket lui était revenu. Quant à Kagami, il m’épate vraiment. Il se donne à fond et progresse un petit peu à chaque match. J’adore cette volonté et la passion qu’il dégage par rapport au basket. Il aime jouer et ça, Tadatoshi Fujimaki le retranscrit vraiment bien dans ses dessins.

C’est la rentrée au club de basket-ball du lycée Seirin et cette année, deux rookies se démarquent… D’un côté, le volcanique Taiga Kagami, fraîchement revenu des États-Unis où il a fait ses armes sous les arceaux.

De l’autre, le chétif et très effacé Tetsuya Kuroko dont on murmure qu’il aurait fait partie de l’équipe de basket du collège Teikô, la légendaire “Génération Miracle” ! Et si ces deux joueurs que tout oppose étaient amenés à se compléter à merveille sur le terrain ? J'ai aimer se manga car il y a du sport!

Le très redoute club de basket du collège Teiko,compte plus de 100 membres et peut s'enorgueillir d'un palmares impressionnat.



Cette saison,il a remporte le championnat nationale inter-college pour la troisième année consécutive!!



Au cours de son gloire passe,Teiko a même connu une période d'invincibilité totale!!!

L’équipe titulaire comptait alors 5 de ces génies comme on voit d'ordinaire naitre qu'un seul par decemmie





C’était la "generation miracle"

Quand discrétion rime avec efficacité : voilà certainement la devise plutôt surprenante de ce manga sportif. Assez basiquement, comme dans la plupart des shônen de sport, ce manga suit l'évolution de personnages passionnés de basket, en l'occurrence Kuroko et Kagami, déterminés à vaincre « la génération miracle », à savoir des joueurs de basket exceptionnellement doués éparpillés dans différentes équipes lycéennes. Gageons qu'ils y arriveront au terme de moult péripéties.

Cependant un petit détail vient réveiller l'intérêt pour ce scénario on-ne-peut-plus classique, outre les touches d'humour : la personnalité de son héros. En effet, Kuroko est un héros très placide, plutôt silencieux, et que le reste des personnages va jusqu'à qualifier de « transparent » ; ce qui est la base de la plupart des situations comiques, puisque beaucoup de personnages ne perçoivent pas sa présence. Ce caractère calme et discret détonne dans un genre plutôt dominé par les héros exubérants, et malgré cette transparence, Kuroko est plutôt attachant, puisqu'il se contente de vivre tranquillement sa vie et sa passion, même si sa discrétion n'est pas clairement décrite comme accidentelle ou intentionnelle, tout comme son réel niveau en basket, qui fluctue beaucoup trop entre le génie et la médiocrité. Le second héros, Kagami, est quant à lui plus conventionnel, voire cliché : bouillonnant, talentueux, avec un côté irascible. Leur relation est plutôt classique, Kagami méprisant Kuroko puis l'estimant pour ses capacités, et éclipse pour l’instant les autres personnages, plus fades, sauf l'entraîneuse, plutôt crispante. Toutefois les raisons de Kuroko d'aider Kagami à s'améliorer sont un peu bancales et le placent un peu trop en position de faire-valoir, surtout que son rôle dans l'équipe est déjà un rôle de passeur… Le point noir de ce manga, outre son manque d'originalité, est la faiblesse de ses dessins : ils sont plutôt moches, avec des membres parfois déformés, des proportions peu respectées, des matchs pas forcément dessinés de manière très palpitante. Au final ce manga vaut le coup pour le héros qui sort des sentier battus, mais pour le reste, il procure les mêmes sensations que le shônen sportif habituel, du moins dans ce premier tome ; si je tombe sur la suite, je me laisserais peut-être tenter.

Un premier tome réussi avec un brin d'originalité par rapport aux autres mangas sportifs. En effet, on a ici un tandem de héros, le personnage principal est effacé et réellement transparent, autant sur le terrain qu'en dehors, tandis que le "héros secondaire" est à l'opposé, une boule de nerfs.



Ici pas de séance d'entraînements ni d'initiation, on entre directement dans le vif du sujet avec des protagonistes possédant déjà un niveau élevé. A voir si le manga peut tenir sur la longueur. Quelques défauts graphiques, surtout au niveau des visages. Dans tous les cas, un manga qui vous prend par surprise, très plaisant à lire.
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Nous rencontrons enfin le dernier membre de l’équipe de la Génération Miracle. Et en fait, je trouve que cela a été assez rapide vu que nous ne sommes qu’au tome cinq. J’aurais pensé que Tadatoshi Fujimaki laisserait un peu plus de suspens face à cette équipe « surnaturelle » qui était une sorte de légende pour les différentes autres équipes de basket. J’en viens d’ailleurs à me demander, une fois la rencontre avec Aomine terminée, que se passera-t-il ? Pour moi, cette génération miracle était un peu le fil rouge de la série. J’espère que le mangaka aura de quoi me surprendre par la suite et qu’il ne tombera pas dans le « j’ai une autre génération miracle dans mon sac »… Cela serait franchement très décevant.



Ce tome cinq n’apporte d’ailleurs pas réellement d’action. On voit les membres de l’équipe de Seirin au lycée la plupart du temps, ou bien aux entrainements. Pas grande chose de très palpitant en soi. En fait, ce tome tourne quasiment autour d’Aomine et de sa présentation. Kuroko nous le présente un peu lorsqu’ils jouaient tous les deux ensemble, et l’on découvre pourquoi Aomine est devenu quelqu’un d’aussi imbuvable… C’est assez drôle en un sens, car Tadatoshi Fujimaki a réussi à le rendre antipathique dès la première image, alors que les autres joueurs de la Génération Miracle qu’a pu rencontrer l’équipe de Seirin sont plutôt sympathique. Du coup, je n’ai vraiment pas hâte de la découvrir sur le terrain, surtout que je n’aime pas le style de jeu que pratique sa nouvelle équipe. J’ai du mal à cerner pourquoi on voudrait jouer perso dans un sport collectif… Même si je ne suis pas une grande sportif et que je n’ai pas spécialement connu « l’esprit d’équipe », cela me semble primordial. Cependant, on arrive tout de même à comprendre pourquoi Aomine a pu en arriver à détester le basket et à avoir un comportement de la sorte. Je suppose que si on vole un rêve à quelqu’un de façon assez brutale, c’est une réaction normale.



J’espère donc que Kuroko et Kagami pourront lui mettre une petit raclée, même si j’ai quelques doutes là-dessus. Je me dis qu’à un moment donné, notre équipe de héros finira bien par perdre, ne serait-ce que pour mieux rebondir ensuite (sans jeu de mots !). Le point positif de ce tome réside essentiellement, à mon avis, dans le présence de Momoi (ancienne coach de la Génération Miracle). Personnage assez étrange, mais elle amène surtout le fait que l’entraîneur a aussi son importance dans la victoire ou la défaite d’une équipe. Et il vrai que pour l’instant, cet aspect-là n’avait pas été mis en avant. Donc un très bon point. J’espère juste que le tome six mettra réellement en avant ce point-là et que ce n’est pas seulement une annonce qui partira rapidement aux oubliettes.



Un tome donc satisfaisant, mais qui est, à mon sens, moins intéressant que les précédents.

J'aime les shonens sportifs et j'aime le basket. J'ai adoré I'll et Slam Dunk, ainsi que Real où les héros jouent au basket et ils font partis de mes titres cultes. Kuroko's Basket est un titre de plus de 30 tomes qui a pas mal de fans et que j'ai souvent vu passer sur les réseaux sociaux, je pensais donc me régaler avec. Malheureusement, il passe après des mastodontes et n'a pas tout à fait la même carrure ^^!



Parmi tous les shonens sportifs que j'ai pu lire, tous sports confondus, c'est le plus faible, celui qui est démarre le plus classiquement et qui manque le plus d'envergure pour le moment. Je suis un peu déçue. Pourtant même si c'est classique, c'est bien rythmé, on ne s'ennuie pas. On sent que l'auteur sait y faire, son histoire est bien huilée mais quelque part, ça manque d'âme, d'impact.



Le départ est original avec le parti pris de faire du héros quelqu'un de transparent, issu d'une génération de grands joueurs mais tous très individuels qui se sont séparés dans différents lycée. Kuroko, lui, va rencontrer un autre joueur très talentueux avec qui il va former un duo pour battre tout le monde. On a donc quand même des personnages qui en veulent et qui ne sont pas là pour faire de la figuration. D'ailleurs ça va très vite dès le premier tome avec pas mal d'action, les séquences de jeu s'enchainent et ils sont loin d'être mauvais, c'est même tout le contraire. J'aurais donc pu être emportée par l'histoire.



Mais même si l'ensemble est sympa, c'est aussi un peu fade comparé à un Slam Dunk aux personnages rebelles et hyper charismatiques, et aux séances de jeu dantesques, ou comparé à un I'll avec ses attaques hyper léchées ainsi que ses belles déclarations d'amitié et d'envie de vivre de nos ados. Ici, ils sont tous un peu trop gentillets même si l'auteur essaie de faire une grande gueule du compagnon de tandem de Kuroko. Tout ça est un peu trop classique, sans surprise ni aspérité. Même l'humour est bateau voire un peu lourd et ne m'a pas fait rire alors que je suis bon public. Encore une fois, ça manque d'âme.



Il est de même pour les dessins eux aussi sont fades. Et il y a un vrai problème au niveau des visages tout en longueur qui leur donne des petits airs de kitsune (rusé renard japonais). L'auteur essaie de les rendre vifs au moment des matchs mais ça ne suffit pas à compenser le banal des situations plus quotidienne... Pourtant on sent que ça pourrait être bien meilleur, il suffit de voir certains cadrages très sympa qu'on croise parfois. C'est d'autant plus frustrant.



Ainsi, je pensais me régaler avec ce nouveau shonen sportif, je me retrouve avec quelque chose de lisible mais de trop classique pour me passionner.
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C'était plutôt agréable et rapide mais je n'en ai pas retiré grand chose de nouveau. On a certes appris que les équipes pouvaient prendre des joueurs qui les avantagent et comment contrer des joueurs immenses mais pas grand chose de plus puisqu'il n'y a pas eu de réelles difficultés à surmonter.

Les personnages n'ont pas changé d'un poil mais les matchs sont plutôt intéressants.

Pas mal du tout, c'est plutôt original d'avoir un personnage tout ce qu'il y a de plus invisible mais pourtant attachant et un autre qui est un monstre de puissance et qui est charismatique. Cette équipe promet. Déjà avec cet affrontement contre un autre de la génération miracle. Et surtout, le terrain est plus grand qu'au volley et je trouve donc les actions plus sympathiques à suivre.

Merci à Anita des Editions Kazé pour l’envoi de Kuroko’s Basket Extra Game en SP dans le cadre d’un partenariat !🙂



Quand on vient de Limoges, on est un tout petit peu obligé d’aimer le basket. Avec une équipe en Pro A, il y a toujours un moment où on regarde un match. Alors forcément, avec Kuroko’s Basket, on reste un peu dans le thème, et je ne me suis absolument pas sentie perdue.



Même si je ne connais pas la série de base, ni les liens profonds qu’ont les personnages entre eux, je me suis prise au jeu de ce nouveau manga. L’histoire est entrainante, et même si j’ai tendance à mélanger les personnages (qui sont nombreux), j’ai passé un bon moment à leurs côtés.



Les personnages américains, l’équipe des Jabberwock (très belle référence à la bête créée par Lewis Carroll dans Alice au pays des Merveilles), sont des caricatures de bad boys qui n’ont peur de rien ni de personne, qui arrivent quelque part et font comme chez eux. Ils font un peu peur car ils sont hyper-agressifs, mais on sent qu’ils ont leurs faiblesses malgré leur surpuissance sur le terrain : rien que leur attitude est anti-sportive. On sent que ce n’est pas une vraie équipe, seuls deux personnages prennent le pas sur tous les Jabberwock… De plus, ils ne s’entraînent pas, restent sur leurs acquis, bref, une équipe qui craint.



Tandis que l’équipe des Vorpal Swords (arme utilisée pour tuer le Jabberwocky) est une vraie équipe (en même temps, les héros, ce sont eux). Même s’ils ne sont pas soudés, que c’est chacun pour soi, avec les ego de chacun à gérer, on sent quand même de l’amitié et un certain respect entre les membres de la team. Un respect qui date du collège où ils étaient déjà les meilleurs de leur génération.



J’ai apprécié les dessins qui sont relativement softs et bien dessinés pour un shonen. Les actions des joueurs sont bien dessinées et on comprend facilement ce qui se passe sur le terrain. Il y a aussi pas mal de détails qui rendent les matchs plus réalistes.

De même, je me suis laissée entrainer dans cette histoire qui est bien rythmée, avec des personnages qui ont un caractère bien trempé. J’attends de voir comment va se terminer le match (série terminée en 2 tomes) !🙂



Et pour info, un film animé est déjà prévu au Japon !
Lien : https://profiteroleslovesboo..

J'ai bien aimée se livre parce que j'adore le basket et kuroko's est transparent.

Intéressant d'avoir deux gros matchs dans la même journée mais j'ai une problème. Je ne me suis vraiment pas attaché aux vétérans de l'équipe qui n'ont eu droit à aucun traitement particulier donc quand Kuroko et Kagami sont sur le banc, je m'ennuie un peu.

Donc, trois tomes plutôt agréables mais qui doivent faire plus d'efforts que ça pour me tenir en haleine.