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3.7/5 (sur 322 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) : 1962
Biographie :

Teresa Medeiros est un écrivain américain, auteur de romans sentimentaux à succès. Avant d'écrire, elle était infirmière.

Source : Wikipédia
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Bibliographie de Teresa Medeiros   (10)Voir plus

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Citations et extraits (88) Voir plus Ajouter une citation
Abby_Donovan : Tu pensais que ta femme était ton âme soeur quand vous vous êtes mariés ?
MarkBaynard : J'avais 22 ans. Je croyais aux arc-en-ciel, aux fées et aux licornes. Et je croyais encore que Ricky Martin était hétéro!

(...)

Abby_Donovan : Tu crois que tu te remarieras un jour ?
MarkBaynard : Non.
Abby_Donovan : Ouah! ça a dû être un sacré choc quand tu as découvert que les licornes n'existaient pas, non ?
MarkBaynard : J'étais surtout effondré quand j'ai su pour Ricky Martin.
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- Ne soyez pas ridicule, Laura, s'écria Diana. Vous nous faites une petite crise de nerfs, c'est tout. Vous serez la plus jolie femme de ce bal.

Laura se redressa.

- Pourquoi ? Vous n'avez invité que des hommes ?
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MarkBaynard : Ce qui donne du sens à la vie, c'est ... la vie. Tu n'as pas besoin de te payer un arbre pour comprendre qu'elle a de la valeur.
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Abby_Donovan : et pourquoi j'aurai envie de te suivre ?

MarkBaynard : Parce que je suis le champion des lavages de cerveau ?

Abby_Donovan : Donc si on devient des followers, ça veut dire qu'on a une relation suivie ?

MarkBaynard : C'est plutôt comme de tirer un coup en vitesse à l'arrière d'un taxi et d'échanger ensuite de faux numéro de portable.

Abby_Donovan : Ce serait la relation la plus longue (et la plus sérieuse) que j'aurai eue depuis longtemps.



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Emma contempla leurs cheveux bruns emmêlés et leurs lèvres charnues avec une fascination à peine voilée. Même leurs nez décentrés semblaient avoir été brisés précisément au même endroit.
- Comment les autres font-ils pour vous différencier?
Se désignant mutuellement, ils répondirent à l'unisson parfait :
- Lui, c'est le moche.
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— Je doute qu’une fille aussi coincée et guindée ait jamais causé plus de problèmes que le fait de sauter une maille en brodant les saintes Ecritures. (Il lança un regard oblique à son cousin.) De plus, je vois mal comment elle pourrait nous poser plus d’ennuis que cette jolie crémière de Torlundy dont le mari avait menacé de t’arracher le bras et de te battre avec jusqu’à ce que mort s’ensuive quand il t’avait surpris en train de fuir par la fenêtre de sa chambre au beau milieu de la nuit !
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Dans la mesure où le visage du vieil homme n’affichait d'ordinaire que deux expressions, l'une lugubre et l'autre sinistre, il était difficile de savoir s'il était porteur de bonnes ou de mauvaises nouvelles.
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Abby_Donovan : Comment m'assurer que tu n'es pas un tueur en série ou un ado solitaire de 14 ans qui vit dans la cave de sa mère ?

MarkBaynard : Peut-être que je suis un tueur en série solitaire de 14 ans qui vit dans la cave de sa mère.

Abby_Donovan : Avec la tête de ta petite amie dans le congélo ?

MarkBaynard : Nuance. Mon ex-petite amie. Je lui avais pourtant dit que je n'aimais pas la crème dans le café. Ni les cintres en fer.
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Abby_Donovan : Pour moi, je crois que ce sera les spaghettis du chef Buitoni.

MarkBaynard : Je vais demander au sommelier quel grand cru il recommande avec ça. Ce soir, on ne regarde pas à la dépense.

Abby_Donovan : Dans ce cas je prendrais le mouton-rothschild 1945 à 120 000 dollars.

MarkBaynard : Vous avez entendu la dame. Elle prendra un Coca light.
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- Je n’attendais de votre part guère plus qu’un grognement inintelligible. Il semblerait que le comte se soit trompé, monsieur. Vous n’avez pas totalement raté votre éducation, dirait-on. Du moins, si l’on se fie à votre vocabulaire.
Il lui adressa un salut moqueur si parfait que n’importe quel gentilhomme en aurait été fier.
- Avec le temps qu’il faut et suffisamment de détermination, ma belle, n’importe quel sauvage est capable d’apprendre à imiter les meilleurs.
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