Sitôt arrivé, je voulus utiliser mon phonographe et écouter ces grands maîtres de la chanson arabe. J'y pris du plaisir et fus étonné de constater combien je les aimais. Et quel écart, cependant, entre ces maîtres égyptiens et Mozart, Haydn ou Beethoven! Ce sont deux genres qu'on ne peut confronter. Chacun a ses fondements et je m'apercevais que je pouvais les aimer l'un et l'autre.