Le Festiv*l de Cann*s détient le monopole du néant médiatique (...). Ces pauvres journalistes qui sont enfermés onze mois sur douze dans un bureau à chercher des informations sur les forums Internet peuvent enfin faire un peu de terrain. Du coup ils tiennent à nous faire croire que c'est un événement très important, que leur défilé de prostituées montant un escalier constitue le summum du rêve. (p. 76)