Whistler, à Paris, possédait le grand avantage de parler et d'écrire couramment le français, comme langue seconde naturelle. Il l'avait appris jeune à Saint-Petersbourg et s'en était servi tout le temps de son séjour en Russie. Il avait contracté l'habitude, qu'il n'a jamais perdue, de semer sa conversation et ses écrits anglais de mots français. Il put donc, grâce à sa connaissance de la langue, se trouver dans le milieu artistique parisien comme chez lui.