Heureusement, il avait appris le français au lycée avec Miss Bennet, qui le considérait comme son meilleur élève- et ce n'était pas une mince affaire : aucun garçon n'étudiait cette langue aux Etats-Unis, à moins d'être gay ou hésitant sur son orientation sexuelle. Les douze autres élèves de la classe étaient des filles et constituaient ce qu'elles appelaient "Le harem de Jonathan". Miss Bennet trouvait ça déplacé.