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2.72/5 (sur 102 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Theresa Charles est le pseudonyme collectif de l'écrivaine Irene Swatridge, née Irene Maude Mossop (1904-1988) et de son mari Charles John Swatridge (1896–1964).

Irene Mossop a aussi écrit sous les pseudonymes Jan Tempest, Fay Chandos, Virginia Storm, Leslie Lance.



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Citations et extraits (148) Voir plus Ajouter une citation
Certains prétendent que, si nous n'avions pas de limites physiques, si nous étions libérés de nos corps, nous pourrions voir la vie dans sa totalité. Quand on est proche de la mort et qu'on n'est presque plus qu'un esprit, on perçoit peut-être des choses qui nous sont invisibles d'ordinaire...
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La haine de la guerre secrète qui a pour principe que la fin justifie les moyens et qui peut détruire moralement et physiquement une jeune femme comme Dalila. Les hommes des services secrets sont d'une ingéniosité diabolique. Leurs agents sont les personnes les plus inattendues
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Le drame de leur union venait de ce que Marie était foncièrement incapable d’aimer un homme et de vivre avec lui. Enfant unique et orpheline de père, elle avait été élevée par une mère possessive pour qui elle représentait la seule raison de vivre. Sa mère ayant trouvé la mort dans un accident de voiture, Marie, désemparée, avait épousé Gene en croyant trouver du réconfort auprès de lui – pour s’apercevoir que ce n’était pas d’un mari qu’elle avait besoin, mais d’une femme capable de remplacer la mère qu’elle avait perdue.
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Même à un âge aussi tendre, le désir d'en savoir toujours plus que tout le monde était très développé chez moi. Même alors, je ne pouvais pas
supporter de me sentir en état d'infériorité.
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Je pense que la plupart d’entre nous éprouvent dès l’enfance le sens de la fierté personnelle et de la propriété… qu’il s’agisse de nous-même, ou de nos biens. Si modestes puissent-ils paraître aux autres, ils nous sont précieux pour la simple raison qu’ils sont nôtres. Et l’on éprouve un véritable choc à voir ce que l’on possède mis à sac par un quelconque maraudeur. L’on se sent violé dans son intimité et, pour ainsi dire, mis à nu.
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Maintenant je me rappelais. La guerre… les bombardements allemands… les raids-éclair… bombes et tirs de la D.C. A… Cependant rien de tout cela ne me paraissait bien réel. C’était comme quelque chose qu’on aurait lu, sans l’avoir jamais éprouvé soi-même. Donc, la nuit dernière j’avais été dans un bombardement, et probablement pour la première fois.
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Pour un jeune homme intelligent, entreprenant, ambitieux, l'Eglise semblait offrir autant de possibilités que les autres professions. Vivoter dans un trou à la manière de papa n'était pas obligatoire. Ce n'étaient pas les sinécures qui manquaient pour peu qu'on prenne la peine d'essayer de les décrocher.
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Il n’était pas de ceux qui plaisaient à Vivi. Son genre à elle, c’étaient les hommes grands, minces, beaux – les hommes à la mise soignée, impeccablement habillés et raffinés jusqu’au bout des ongles. Elle avait tendance à les considérer un peu comme des figurants : sur les photos publicitaires, ne fallait-il pas qu’il y eût, à l’arrière-plan, un bel homme penché avec sollicitude sur la jolie fille pour allumer sa cigarette, lui offrir une boîte de chocolats ou l’aider à enfiler son luxueux manteau de fourrure ? A défaut de chevalier servant, on pouvait, il est vrai, imaginer un chien de race au bout d’une laisse. Mais Vivi avait toujours détesté les chiens. Elle les avait en aversion comme d’autres ont en aversion les souris ou les araignées. C’était là une des rares caractéristiques que nous n’avions pas en commun.
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Il y eut une période de ma vie, heureusement brève, où je m’étais imaginé être amoureuse de cette gloire de la télévision qu’était Pierre de Courcey, né Peter Jones Smartley. L’image qu’il donnait de lui sur l’écran m’avait trompée. J’avais cru qu’il était aussi ardent défenseur et amoureux de la nature que tante Louisa et moi-même l’étions. Dans un élan d’optimisme fou, je l’avais invité à passer une quinzaine de jours à Saintsmere pour filmer la vie sauvage qui abondait chez nous. J’étais sûre que nos fiançailles couronneraient son séjour.
Oh ! Toutes les jeunes filles rêvent. Pourquoi pas ? C’est humain. Certains rêves deviennent réalité. D’autres pâlissent à la lumière du jour. Et quelques-uns se terminent en cauchemar. Un hasard malheureux, ou une erreur de jugement, je ne sais, mais ce fut le cauchemar.
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Vous pouvez appeler ça des calmants ou tout ce que vous voudrez. Mais, en définitive, c’est bien de drogue qu’il s’agit. Autant il est normal d’en administrer à des malades qui souffrent beaucoup, autant il me paraît absurde d’en donner à ma sœur, qui ne souffre absolument pas.
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