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Critiques de Thierry Crifo (19)
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L'effet carabin

Le toubib, comme on le surnomme, a la flambe dans la peau..

Poker menteur..pas la baraka, aujourd'hui.

La faute à qui ? à  Clooney bien sûr !

Endetté jusqu'au cou, il ère la nuit dans Paname à la recherche de flouze

et croise au détour d'une sombre impasse le blues...

Le style de Crifo puise dans la veine noire des anciens,

dans les pas et  la mouise d'un héros à la  Goodis.

Troisième Crifo lu et pas encore repu.

L'effet carabin, un petit roman noir... carabiné !
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Paris parias

"Rien ici n'était à moi et rien de moi n'y était."



Paris perdu pour Angèle qui cherche un foyer pour la nuit , Irina qui fuit les macs de l'Est , l'homme en noir qui cherche la nuit des colis, Mona la jeune rebelle et Jojo " tout seul le martien loin de sa planète" la cinquantaine, fatigué après dix ans de placard, qui trouve un job d'homme à tout faire dans l'hôtel des passagers, confort moderne et tout l' tintouin.

Mais pari gagné pour Thierry Crifo qui décrit d'une plume nerveuse et hallucinante le Paris des parias.

un regard noir perçant sur le paris face prolos, sur les quartiers, bars et hôtels populos, "On était loin de l'agitation de la rue Lafayette, on était dans le confidentiel, dans le familier" sur la galère, les exclus, les clodos

les filles perdues, proies faciles pour les sadiques qui courent les rues...

Du déjà vu, ok mais relaté avec un style familier parigot un peu moins dans l'air du temps mais tout aussi bon que le Paris la nuit de Jeremie Guez.



Noir c'est noir oui mais il y a quelques touches de couleurs, les cheveux rouges d'Irina la Russkoff et surtout la belle Calypso en boubou et ses trois maris qui vont en voir de toutes les couleurs et lui rendre la vie un peu plus rose.

Paris parias, pari noir réussi hauts les mains... peau de martien !
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La Ballade de Kouski

Jojo le martien, le héros de Paris parias m'avait déjà bien botté.

Thierry Crifo récidive avec La ballade de Kouski,

un personnage attachant, la quarantaine fatiguée, un brin déphasé et bancal,

ancien hockeyeur professionnel très en vu,

proprio à Grenoble d'un bar de quartier Chez Brian

et détenteur d'un généreux compte en banque.

Kouski mène une vie pépère Chez Brian à papoter, à boire des coups et fumer des celtiques

jusqu'à l'arrivée fracassante de Sandra, la femme de Victor son meilleur pote,

qui lui annonce surexcitée qu'elle est sans nouvelles de son mari...

Ni une ni deux, notre Kouski sort de sa léthargie, se refait un look et se lance sans réfléchir à la recherche de son pote parce que l'amitié, c'est sacré !

Mais sans nouvelles depuis un bail de son ami

la ballade à Paname risque d'être pleine de surprises, bonnes et mauvaises....



Thierry Crifo signe un très bon roman noir pas mal nostalgique

qui s'épanche sur le sens de l'amitié, les bons moments passés et partagés, les petites trahisons, les rancœurs

la marginalité, la fatalité et les coups durs de la vie....

et livre une description pas folichonne de Grenoble et bien vue du Paris parias et branché des années 80-90 .

Sans oublier une bande son très sixties

La ballade de Kouski, une virée noire et musicale qui tient en haleine.

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Casting mortel

Reçu dans le cadre du dernier Masse critique consacré à la littérature jeunesse, je tiens tout d'abord à remercier Babelio ainsi que les éditions du Jasmin de m'avoir fait parvenir cet ouvrage.



L'histoire se déroule en Paris (puis plus tard à Lyon), à l'heure d'Internet, celle où des jeunes adolescentes "reines de Facebook et de Twitter" rêvent de devenir un jour une star, qui se voient déjà faire la Une de tous les journaux avec leur joli petit minois affiché partout, des ados remplies de rêves mais qui sont souvent beaucoup trop naïves, du moins est-ce le cas ici. Lorsque Jessica, âgée de seize ans s'inscrit à un casting recherchant des jeunes talents de 14 à 18 ans, elle est loin de s'imaginer dans quelle affaire monstrueuse tout cela va m'amener. Un simple clic sur le Web, plus les frais d'inscriptions qui s'élèvent à cent euros (avouez que ce n'est pas donné) et là voilà partie pour faire son petit show devant la société Magic Gold Star dirigée par un certain James. Ce dernier ne fait jamais ses auditions sans un cameraman (ici, c'est un certain Maxime qui s'y colle) et est toujours entourée de queue-de-cheval et du "big boss", Serge (la tête pensante).

Revenons cependant à Jessica...cette dernière a longuement hésité avant d'en parler à ses amis, Marco (ce dernier étant même son petit ami), Muriel et Larry de ce casting auquel elle doit se présenter et va tout faire pour les convaincre de l'accompagner mais, sans grand succès. Cependant, ils vont eux aussi se retrouver impliqués dans cette affaire de casting, non pas parce qu'ils sont les amis de Jessica, mais pour une toute autre raison, bien plus dramatique et que je ne vous dévoilerai pas car là se trouve toute l'intrigue.



Un roman bien écrit, très vite lu et qui, bien que se destinant à la jeunesse, nous apporte, à nous aussi, quelques petites leçons de morale, la première étant celle de toujours vérifier ses sources avant de foncer tête baissée vers ce que l'on pourrait croire être l'opportunité de notre vie. A découvrir et à faire découvrir !
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Femmes dans la ville

Femmes dans la ville regroupe deux nouvelles sur deux femmes :

Les portes de la liberté

Maryse sort de prison et est heureuse de retrouver la liberté. Dans le train, elle voit une jeune fille volait le portefeuille d'un vieil homme...

Marguerite et les dimanches

Marguerite est une vieille dame de 79 ans, elle a une vie bien organisée entre sa fille, les voisins et ses amies. Elle apprécie particulièrement les dimanches, cela lui rappelle de bons souvenirs...



Deux nouvelles très différentes même si on suit dans les deux cas, un moment particulier dans la vie de ces femmes parisiennes : une sortie de prison et un certain dimanche... Les histoires se lisent bien mais je n'ai pas été surprise par les déroulements. L'une se finit plutôt bien et l'autre non.

La partie Epilogue de la première nouvelle n'est pas nécessaire à mon avis.

L'écriture a un peu vieilli dans certaines tournures de phrase, quelques situations. Le livre date de 2006 mais les nouvelles semblent se situer dans les années 80 (ou avant).

Sympathique sans plus.





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La rebelle

J'ai emprunté ce polar pour ados à la médiathèque et j'ai admiré le caractère de l'héroïne.

Coumba est une brillante lycéenne en section bio-services qui, à 19 ans, élève sa petite Assata âgée de 2 ans, tout en travaillant le soir au MacDo pour garantir son indépendance financière. Malgré la fatigue et la discipline que cela lui impose, elle s'en sort bien mais ne mène pas du tout la même vie que ses camarades de classe.

Sa vie va se compliquée lorsque la police vient la chercher au lycée parce que le père de sa fille, Aldo, avec qui elle a rompu depuis 3 ans, s'est évadé de prison.

En plus des préjugés et du racisme ordinaire (sans parler du harcèlement de rue) auxquels Coumba doit faire face, elle est en lutte avec sa conscience entre les souvenirs d'un tendre amour, la volonté de ne pas "donner" Aldo à la police mais le refus de le suivre et d'accepter ce mode de vie dans l'illégalité.
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La rebelle

Coumba a 19 ans, une petite fille de 2 ans, et tente de gérer seule leur vie quotidienne, entre les études au lycée, les ptits boulots, et la crèche. Elle apprend un jour qu'Aldo, le père de sa fille, s'est évadé de prison, et elle est soupçonnée de complicité...

J'ai beaucoup aimé le personnage de Coumba, tiraillée entre son grand amour passé, le père de son enfant, et sa volonté inébranlable de protéger Assata, sa fille.

On suit successivement la cavale d'Aldo, et les pressions policières sur Coumba. Ce roman de la collection Souris noire de Syros m'a semblé bien ficelé mais trop court, ça manquait un peu de suspense (à part l'attente pour savoir comment le fugitif parviendra à prendre contact avec sa belle, malgré la surveillance serrée...).
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Le Poulpe : Pigalle et la fourmi

Gabriel Lecouvreur alias Le Poulpe, est plongé dans une phase nostalgique, arpentant les trottoirs de Pigalle, à la recherche des fantômes de ses parents.



Cheryl désirant acquérir une nouvelle boutique de coiffure, histoire de se décentraliser et teindre la mèche hors de son arrondissement de prédilection, a jeté son dévolu sur une boutique du IXe arrondissement, plus précisément rue de Douai.



Ce n’est pas la mer à boire, pourtant Gabriel n’apprécie guère. Et ne voilà-t-il pas que son vieil ami Pedro lui fait remarquer, bêtement, comme ça par hasard, vendant la mèche sans s’en rendre compte, que ses parents (au Poulpe et non à lui Pedro), que les parents donc de Gabriel, ébouriffé par cette révélation, ont habité précisément cette rue et sont décédés accidentellement dans le quartier de Blanche-Pigalle.



Pas doué pour une fois le Pedro qui décoiffe. Gabriel était persuadé que ses parents étaient morts près de Chartres. Du moins c’est ce qu’on lui avait toujours dit. Alors ? Déboussolé, accablé par la chaleur, il investit un quartier qu’il ne connaît pas et remonte les traces qu’aurait pu laisser son père, découvrir une vérité qui le taraude alors qu’auparavant il n’avait jamais pensé à remonter le passé à la découverte de ses origines.







Un Poulpe qui sort enfin de l’ordinaire (avec celui de Pierre Bourgeade : Gab save the Di). Gabriel est entièrement impliqué dans cette enquête, cette quête, et ce n’est pas une affaire qu’on lui propose, par le biais parfois.



Non, cette fois, c’est lui qui est en cause, ses parents, les mensonges qui lui ont été fournis peut-être pour ne pas le traumatiser, lui qui se promène avec dans son portefeuille une photo de ses géniteurs mais n’avait jamais cherché à savoir où elle avait été prise, un retour en arrière qui risque de faire mal.



Thierry Crifo, tout en respectant la Bible du personnage, innove, et c’est comme une bouffée de fraîcheur dans un Pigalle qui transpire sous la canicule.






Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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La Ballade de Kouski

j'avais aimé Paris Paria, j'ai adoré la ballade de Kouski. Très belle histoire et très bien écrite
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Casting mortel

L'histoire commence lors d'un casting pour un clip auquel de nombreuses jeunes filles se présentent pour tenter leur chance. Parmi elles, il y a Jessica qui a repéré une autre jeune fille qui n'a pas du tout le profil des autres : mal habillée, l'air perdu, elle ressemble plus à une SDF - et elle est effectivement une jeune sans papier.



Quand Jessica refuse de se déshabiller pour les producteurs, elle part en trombe mais elle s'aperçoit que Milena, la jeune paumée est la dernière à passer le casting...



Le lendemain, Jessica et ses copains lycéens réalisent que le casting était une arnaque avec une maison de production fictive. Les choses deviennent sérieuses quand en lisant le journal, Jessica reconnait Milena dans la description d'un cadavre retrouvé dans la nature. Les amis mènent alors l'enquête...



J'ai commencé ce roman avec une pointe d'exaspération parce l'auteur citait des noms à longueur de lignes -listes de chanteurs, de chanteuses "intelligentes" (et si on ne connait pas ou on n'aime pas ces chanteuses, on est quoi? Je me mets à la place des jeunes lectrices...), d'émissions de télévision etc... Mais passé le premier chapitre, ça s'est un peu amélioré, même si un des personnages des lycéens est assez pédant et fait des allusions à des courants artistiques ou littéraires qui ne seront sans doute pas compris par la majorité des lecteurs (mais ce personnage se fait souvent remettre à sa place par les autres.)



L'histoire est bien menée, réaliste par certains aspects (et même sordide par moments), il y a des morts et les jeunes héros ne réussissent pas tout ce qu'ils entreprennent. C'est plein de rebondissements.



Mais par contre, je ne comprends pas qui a pu avoir l'idée de proposer ce titre pour la pré-sélection des CM2-6ème pour les Incorruptibles... C'est totalement inadapté pour cette tranche d'âge... Je verrai ce roman plus pour des 4ème-3ème (mais cette tranche d'âge n'existe pas pour les Incos) Il y a quand même des allusions d'exploitation sexuelle du producteur envers des jeunes filles, qui va même jusqu'à filmer une des filles nue pendant son sommeil, un kidnapping, une mort en directe, des hommes qui se débarrassent d'un corps dans un fossé et qui envisagent même de le brûler!



Mais c'est quand même une bonne lecture pour des ados plus grands!
Lien : http://ennalit.canalblog.com..
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Vieux comme le monde

Imaginez les Tontons flingueurs vieillissant débarquant à l'hospice et vous aurez une idée des dialogues, du ton et de l'histoire d'amitié entre trois anciens mise à mal par l'arrivée d'un quatrième.

Beaucoup d'humour mais aussi le temps qui passe...
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Paris parias

attention cette histoire est crue, dure, si vous êtes fleur bleue évitez ce livre, mais si vous aimez les romans noirs, lancez vous dans ce roman
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Paris parias

"Il est peu de dire que Paris Parias est un livre formidable, un livre puissant. Des esprits chagrins vous assureront que l'on a déjà lu ce genre d'histoire mille et une fois - Crifo fait mieux qu'écrire la mille et deuxième version des errances nocturnes et citadines de pauves hères broyés par une société plus avide de bénéfices égoïstes que de partages généreux : il réinvente la formule à sa manière. Sa nuit est zébrée de rock'n'roll. Sa ville nous est familière et pourtant sans cesse revisitée. Ses parias sont plus que jamais nos frères et soeurs en humanité. La plume de Thierry Crifo, d'une féroce tendresse, ne triche pas : en multipliant les points de vue, elle tricote les fils du Destin avec l'art implacable d'une Parque. (Extrait de la préface de Jean-Hugues Oppel)



Je lui ai rendu son sourire, en silence, un sourire que je savais coincé, même si je n'aspirais qu'à une seule chose. Etre enfin peinard. Avec elle. Pourtant, je savais qu'en dedans je ne pouvais m'empêcher de déchanter. Libre, un Martien ?"



Ça, c'est la fin, pour changer de la quatrième. Ce livre, c'est du noir foncé. Avec une touche d'optimisme au final. Ce n'est pas un conte de fées, c'est un conte de faits. Trajectoires d'anciens taulards et d'autres qui y ressemblent. Dure, très dure réalité.



Lecture assez difficile au début, avec des phrases à n'en plus finir et une alternance de personnages que l'on peut confondre. Ça passe. Je me suis attaché à ces paumés, avec leur volonté de ne pas craquer, leur incroyable résistance à un milieu qui les rejette mais qu'ils ne peuvent faire autrement qu'accepter.



Comme le dit Oppel en préface : la plume de Criffo est d'une féroce tendresse.



Du bon.
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Le Poulpe : Pigalle et la fourmi

Un poulpe assez dispensable dans lequel Gabriel Lecouvreur part sur les traces de ses parents décédés trente-cinq ans plus tôt dans un accident et de voiture.

L’histoire qu’on lui a raconté depuis son enfance s’avère totalement fausse. C’est en allant voir à Pigalle s’il y est que Gabriel rencontrera les différents acteurs de l’histoire qui s’est réellement passée cette nuit là.

Ni très drôle ni très bien écrit. Pas indispensable en somme.

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Paternel à mort

en lisant les critiques je savais qu il n était pas le top mais comme on me l avait donné gracieusement je me suis dit lisons le ce livre ne m as pas du tout plu pas accroché du tout une histoire sans intérêt et la fin franchement j avais envie d arrêter au milieu mais quand je commence un livre j aime le finir mais j' ai été très déçue par ce livre je ne le recommanderai pas





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Paternel à mort

Encore un livre arrivé par hasard à la maison ... collection "masque" ... de bons souvenirs ... je vais tenter ...



Je n'aurai pas tenté longtemps ! Le style d'écriture est affreusement lourd. Les phrases sont longues à mourir. Une virgule, un mot, une virgule, un mot, ... et un récit à la deuxième personne du singulier, un récit qui ne démarre pas.



Pas pour moi vraiment ... next !
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Paternel à mort

Dans ce roman, Thierry Crifo nous donne à voir la face obscure d’un homme qui refuse de voir sa fille grandir, qui rejette l’idée même qu’elle puisse devenir une femme, et qui décide de la suivre en cachette, dans les rues de Paris, au gré de ses virées nocturnes et de ses rencontres.

Les choses sont loin de s’arranger lorsqu’elle rencontre Fred et décide de s’installer avec. Le père se réfugie alors dans ce qu’il reste des affaires de sa fille, multiplie les absences et les impairs, laissant sur le carreau sa femme et sa cadette.



Thierry Crifo révèle les craintes et les porte jusque dans les derniers retranchements. Il n’est absolument pas question d’inceste dans ce roman, mais de possession à outrance, lorsque l’obsession est tellement présente et oppressante qu’elle en efface le sens commun,et que les vieilles histoires mal digérées, les secrets de famille et la culpabilité ne peuvent finalement s’exprimer que dans une violence dramatique.



Une chronique familiale bien noire et un roman qui se lit bien, mais quitte à découvrir l’auteur, je vous conseillerais davantage Paris Parias !…
Lien : http://casentlebook.fr/pater..
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Casting mortel

✒ "Casting Mortel" est un roman policier moderne à divers échelons, entre références actuelles médiatiques, musicales entre autres et une écriture très propre et expressivement bien maîtrisée, le jeune lecteur y trouvera de quoi se divertir. Une bande d'amis qui part en investigations après la découverte d'un cadavre le tout mêlé à du bon-sentiment, ce fil conducteur, relativement bien étiré, fonctionne une fois de plus. Il ressort de ce roman un plan que l'on identifie clairement au fur et à mesure de la lecture. Malheureusement j'aurais aimé me laisser conduire et surprendre d'avantage. On observe donc une histoire qui aborde des sujets fréquemment utilisés dans les œuvres policières qui se révèlent haletants et intéressants mais qui n'ont pas été suffisamment exploités en profondeur selon moi. Il est indéniable que sa figuration dans un domaine littéraire destiné à la jeunesse le pousse à rester dans un registre politiquement correct. Donc même si j'ai trouvé l'oeuvre assez lisse par moments, elle reste divertissante et je reste convaincu qu'un jeune public y trouvera son compte.
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Le Poulpe : Pigalle et la fourmi

L'histoire est prenante...retrouver le Poulpe sur les traces de son histoire personnelle perdu dans un quartier de Paris qu'il ne connait pas...mais le style est too much. Trop de phrase à rallonge...trop de jeu de mot.
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