Le temps s’écoule, sans repères, sans balises, sans heurts... Les mots ont cessé de vouloir changer le cours des choses. La paix contractualisée avec brutalité a mis fin à la vaine agitation. La mauvaise foi est manifestement une valeur partagée par les deux reclus. Cette situation n’est chargée de rien d’autre que ce qu’ils veulent bien supposer. Leurs supputations sont nombreuses, plus ou moins orientées par une pente pessimiste qui s’impose à eux, comme l’obscurité. En toute objectivité, même omnisciente, il est difficile de leur donner tort.