Nous ne nous soucions que rarement de ce que faisaient nos hommes mais accordions beaucoup d'attention à ce qu'ils pensaient. Pour nous, la diathétique comptait pour plus de la moitié dans l'art du commandement. Cet aspect était quelque peu négligé en Europe et confié à des étrangers à l’État-Major. En Orient, nous étions physiquement si faibles que nous ne pouvions laisser rouiller, inutilisée, l'armée métaphysique. Une province ne nous était acquise que lorsque nous avions appris aux civils qui y vivaient à mourir pour notre idéal de liberté. La présence ou l’absence de l'ennemi était finalement peu importante.