Thomas Pesquet

( Pour les humains ), il n'y a pas de planète B.

Homs foudroyée par la guerre en Syrie. Oui, la folie meurtrière des hommes se voit même de l'espace.

Tellement de neige sur cette photo qu'on dirait de la crème (réflexe de Normand ?...) !
Luttons contre le changement climatique pour protéger l'équilibre de la nature (le glacier d'Aletsch dans les Alpes suisses).

Contraste surprenant en Arizona : champs irrigués en plein désert... L'impact extrême des activité humaines sur la nature en un seul cliché.

Les grandes villes, entrelacs de rues et de variations infinies de paysages urbains, sont toujours une cible de choix. Ispahan, en Iran, ancienne capitale perse qui a vu se succéder des siècles et des siècles d'urbanisme, ne déroge pas à la règle !

S'il est fait de beauté, le spectacle quotidien de la planète depuis l'espace est aussi empreint de fragilité.

La ville de Nantes, et son château des ducs de Bretagne, mais... Nantes est-elle en Bretagne ?;)
(Je profite d'être en orbite pour relancer des débats de la plus haute importance...)

Ce livre est un voyage ; telle une orbite décrite par la Station spatiale, il débute au lever du jour, survole toutes les merveilles que la planète nous offre en spectacle, et se termine dans la nuit, sous les étoiles. Comme tout vrai voyage, il s'achève par un retour chez soi.

J'espère qu'il vous fera apprécier, s'il en était besoin, la beauté de notre planète, mais mon souhait le plus cher est qu'il nous convainque une fois pour toutes de la nécessité d'agir face à sa vulnérabilité. Parce qu'aujourd'hui plus que jamais, l'avenir de la Terre, est entre nos mains.

Page 52
Terminateur
C’est simple : à l’exception des pôles, le terminateur passe partout sur le globe deux fois par jour… lors du lever et du coucher du soleil. On ne parle pas ici du robot venu du futur : en astronomie, le terminateur désigne la ligne de séparation entre la face éclairée et la face dans l’ombre d’un objet céleste (dans notre cas, la Terre). J’aime contempler cette zone particulière, où le jour semble toujours aspiré par la nuit.

Pages 352 et suivantes : un plan de New York.
Une ville bien ordonnée, une immense mégapole...

Le footing dans l'espace, c'est comme sur Terre finalement. sauf qu'ici on peut courir sur les murs, qu'ici le sport est vital : à force de flotter en impesanteur, nos muscles et nos os deviennent de plus en plus faibles. A tel point que cela pourrait devenir dangereux lors du retour sur Terre. On nous donne donc un programme strict de deux heures de sport par jour sur le tapis roulant, le vélo ou l'appareil de musculation.

pages 380-381.
Paris by night, minuscule comparé a New York.

Rendez-vous page 202
Une féerie, un paysage agricole à vous couper le souffle.
des champs cultivés en forme d'étoiles.

Dommage je ne sais pas intégrer les images. si une personne peut le faire, je lui délègue mes droits.

Des formations rocheuses en Iran, comme du papier froissé.