Sa mère, une Ardéchoise pure souche, était tombée amoureuse d’un Breton qu’elle avait suivi jusqu’ä Douarnenez , où Quimper, enfin quelque part au fin fond de la Bretagne. Erwan et sa sœur Gwenaëlle sont nés là-bas. Ces tarés de Bretons sont tellement fiers de leur pays qu’ils ne peuvent s’empêcher de labelliser leur progéniture. Franchement je ne comprends pas qu’on puisse infliger cela à un gamin. Un prénom c’est aussi durable qu’un tatouage au fer rouge sur le cul d’une vache, ça me tue que les parents d’aujourd’hui ne comprennent pas ça.