La vérité, c’est que je passe mon temps à faire causer des semi-vedettes aussi vides que leur agenda, et des gens pas plus doués que tout le monde qui n’ont pas plus de chose à dire. Si je devais résumer l’année en cours, je dirais que mes plus gros coups sont une interview de la dernière recrue du Crazy Horse Saloon, cette d’un poète hongrois qui refusait une question sur deux, et celle d’un crétin de gymnaste dont il vaut mieux taire le nom.