La victoire n'était jamais satisfaisante lorsqu'on n'avait personne avec qui la célébrer.
– Cette soirée est plus assommante qu'un sermon du dimanche, se plaignit Leopold Byron dans un soupir. (...)
– Estime-toi heureux de ne pas être pour de bon à l'église.
– Si j'y étais, au moins je pourrais piquer un somme.
Un cœur dur et un cœur tendre, réunis de force pour la vie à cause d'une seule imprudence.
L’histoire de ses déboires se répandrait comme une traînée de poudre. On raconterait partout que, incapable de prononcer un mot, il avait dû se désister. On se gausserait de sa disgrâce due à son bégaiement. Il serait aussi sûrement voué aux gémonies que s’il s’était rendu coupable de la pire des fautes.
Il est un noceur impénitent à la rép… réputation désastreuse quand il s’agit des femmes. Si tu étais au cou… courant de quelques-unes des histoires que j’ai enten… dues, tu serais déjà calfeutrée dans ta chambre à remercier le Ciel d’être rentrée avec ta virginité intacte.
Je préfère ma vie telle qu’elle est aujourd’hui : passer du temps avec ma femme, m’occuper de notre domaine, travailler à mon nouveau roman, dont Thalia dit qu’il est encore plus effrayant que le précédent.
Lawrence aimait jauger les hommes avec lesquels il croisait le fer. Quel meilleur moyen y avait-il pour se forger une opinion qu’une conversation amicale autour de quelques verres ?
Nous ne devons pas faire l’amour pour la première fois à la va-vite, dans mon bureau. Lorsque je vous conduirai dans mon lit, je ne veux pas que nous soyons pressés, ni interrompus.
Lorsqu’elle avait accepté d’accompagner lord Lawrence, jamais elle n’avait imaginé qu’un match de boxe pût être aussi cruel et brutal.
Dire qu’ils appelaient cela un sport…
Byron est un riche aristocrate trop gâté qui vit dans un monde différent du nôtre, même s’il est avocat.