Pour le spectateur contemporain de Rogier, ces impératifs purement esthétiques étaient probablement éclipsés par la densité des références religieuses. Le peintre devait avoir une sérieuse culture théologique ou s'entourer de spécialistes en la matière, tant ses tableaux font preuve d'une connaissance approfondie du dogme chrétien, souvent responsable de tel ou tel élément visuel à l'intérieur de l'image.