Parallèle formel surprenant, donc, entre ces deux phénomènes surgissant presque simultanément mais dans des domaines tellement différents. Ce parallèle s'enrichit, ou se complique, avec l'adjonction d'une troisième forme de violence propre au XIXe siècle et résistant elle aussi à la narration. C'est en tout cas ce que veut démontrer cet essai, lequel fait ainsi suite à deux de mes études précédentes, Le Récit impossible, sur le roman policier (classique), et Fictions de l'anarchisme, sur la naissance du «terrorisme»l. Avec cette différence que mon objet, ici, ne relève ni de la pure fiction, comme le crime mystérieux du genre policier, ni de l'univers socio-politique supposément réel de l'attentat. Le duel.