Voyant que je ne pleurais pas devant elles, elles ont dit que j'avais la "tête dure", elles sauraient "comment mater la petite pute snobinarde" que j'étais. Malgré les alertes auprès de la cadre et de l'IFSI, rien n'a été fait pour me sortir de là ou pour calmer l'équipe. Ce stage a été un tel cauchemar que, sept ans après, je ne sais toujours pas m'exprimer avec du recul et je ne suis toujours pas capable non plus d'ordonner mes idées.