*Le bonheur rend léger car il ne pèse rien […] Il s’envole en un claquement de doigts. Il ne s’attarde pas ; il a bien trop peur qu’on veuille l’enchaîner. Il se désagrège, il s’évanouit pour se poser ailleurs. Le malheur lui, est casanier, il vous suce les os et en redemande.