(...) Jo détestait les bidouilleries électroniques. Le confort moderne nous esclavagisait, pensait-elle, à cause de lui on ne savait plus rien faire tout seul, et puis il tombait toujours en panne, surtout au moment où on avait le plus besoin de lui, le progrès était un traitre, en somme, qui ne méritait que le mépris.
(...) Jo pratiquait le bannissement ménager intempestif, on ne savait jamais quel objet allait être exilé.