Pour la première fois depuis bien longtemps, tous les partis de la IIIème République étaient unanimes. ils manifestaient un commun désir d'étouffer dans l’œuf les plans expansionnistes du Führer. Hélas ! Ce n'était là qu'une apparence d'union nationale. La droite française, obnubilée par les bouleversements du Front populaire, finit par détourner les yeux du véritable danger.