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Vidéos de Victor Margueritte (2)
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ThibaultMarconnet01 juillet 2021
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La Commune de Paris : Analyse spectrale de l’Occident (1965 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 12 juin 1965. Illustration : Une photo de la Barricade de la Chaussée Ménilmontant, Paris, 18 mars 1871 © Getty / Bettmann / Contributeur. Pierre Sipriot s'entretient avec Henri Guillemin (critique littéraire, historien, conférencier, polémiste, homme de radio et de télévision), Emmanuel Berl (journaliste, historien, essayiste), Adrien Dansette (historien, juriste), Pierre Descaves (écrivain, chroniqueur, homme de radio), Jacques Rougerie (historien spécialiste de la Commune de Paris), Philippe Vigier (historien contemporanéiste spécialiste de la Deuxième République), Henri Lefebvre (philosophe), et Georges Lefranc (historien spécialiste du socialisme et du syndicalisme). Dans les années 60, la Commune de Paris était encore "un objet chaud" qui divisait profondément les historiens. Comme en atteste ce débat diffusé pour la première fois sur les ondes de France Culture en juin 1965 et qui réunissait sept historiens, journalistes ou philosophes spécialistes du XIXe siècle. Textes d'Élémir Bourges, Jules Claretie, Lucien Descaves, Paul et Victor Margueritte, Jules Vallès et Émile Zola lus par Jean-Paul Moulinot, Robert Party et François Périer.

« La Commune, objet chaud, a longtemps divisé les historiens. Elle a eu sa légende noire, sitôt après l’événement : celle de la révolte sauvage des barbares et bandits. Elle a eu sa légende rouge : toutes les révolutions, les insurrections socialistes du XXe siècle se sont voulues filles de l’insurrection parisienne de 1871 ; et c’était à tout prendre, politiquement, leur droit. Historiquement, cette légende a pu se révéler redoutablement déformante. L’historiographie socialiste s’assignait pour tâche de démontrer "scientifiquement" que l’onde révolutionnaire qui parcourt le premier XXe siècle trouvait sa source vive dans une Commune dont elle se déclarait légitime héritière. On quêtait, par une analyse anachroniquement rétrospective, les preuves de cette filiation, oubliant le beau précepte que Lissagaray, communard, historien « immédiat » de l’événement avait placé en 1876 en exergue à son Histoire de la Commune. "Celui qui fait au peuple de fausses légendes révolutionnaires, celui qui l’amuse d’histoires chantantes est aussi criminel que le géographe qui dresserait des cartes menteuses pour les navigateurs." »
Jacques Rougerie (in "La Commune, 1871", PUF, 1988)

Source : France Culture
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videos16 juin 2021
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Chaque mois, les Rencontres de Gallica font découvrir les collections numérisées de la BnF et de ses partenaires, en s'attachant à un thème ou à un corpus de documents. Cette rencontre s'attache à l'image des femmes dans les Années folles à partir des collections de presse de mode mais aussi de photographies, de publicités, d'extraits de romans et de presse d'actualité. 

Dans les années 1920, la mode féminine en France évolue : fin du corset, jupe raccourcie, cheveux courts, silhouette sportive et androgyne sont les nouveaux mots d'ordre de la femme moderne. Ce style s'incarne dans les pages de l'édition française du magazine Vogue qui est lancée en 1920. C'est aussi la naissance de la garçonne, devenue une figure médiatique emblématique avec le roman de Victor Margueritte publié en 1922, oeuvre jugée subversive qui valut à son auteur la perte de la Légion d'honneur.

Loin d'être anodine, cette nouvelle mode implique une remise en cause de certaines valeurs et devient donc un véritable sujet sociétal, entraînant polémiques et débats. Entre libération corporelle et nouvelles injonctions vestimentaires, entre désir d'émancipation né de l'après-guerre et esprit conservateur de l'époque, la nouvelle mode des Années folles pose en effet la question du rapport des femmes à leur corps et de leur place dans la société.

Par Coralie Philibert, chargée de collection en art, département Littérature et art, et Juliette Delobel, chargée d'études au département de l'Orientation et de la recherche bibliographique.

En savoir plus sur les Rencontres de Gallica : https://www.bnf.fr/fr/agenda/les-rencontres-de-gallica
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