Sous la neige et le clair de lune, avec le ciel étoilé dans toute sa splendeur au-dessus du lac Supérieur, tout blanc et sans fin, cette vue était encore plus magnifique que d’habitude, à la limite du cosmique, comme si cela se passait sur une planète qui n’avait qu’une vague ressemblance avec la nôtre.
(Grasset, p. 104)