je cédais à l'envie irrésistible de débusquer dans leur écrin quelques œuvres de Giorgione, Titien, le Tintoret et Véronèse. Je savais l'émotion qu'aller provoquer le face à face avec ces œuvres si longtemps convoitées.
longtemps grâce à Dorian je m'étais cru délivré d'un désir obsessionnel dont le petit Caravage n'était que le souvenir apaisé et le trait d'union entre deux facettes de moi même
l'overdose de représentations picturales me guettait. Canaletto, Tiepolo et tous les autres me narguaient chaque fois que mon regard cadrait une perspective.