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Critiques de Vincent Perrot (15)
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Une réplique comique par jour

Un petit recueil recensée par l'ex animateur de TV Vincent Perrot, pour tous les passionnés de ciné à savourer chaque jour de l'année ou à lire d'une seule traite, cet ouvrage réunit 365 des répliques les plus drôles, amusantes, cocasses ou facétieuses du cinéma français.



Des grands classiques tels que Marche à l'ombre, Calmos ou Les Bronzés, aux films plus récents comme Prête-moi ta main ou 3 zéros, ce recueil est l'occasion de se remémorer ses fous rires devant l'écran ou de découvrir des films à voir ou à revoir.



Un livre à dévorer en familles ou entre amis pour rire des tirades, parfois hilarantes, et faire deviner les films dont sont tirés les répliques en question.

Evidemment pas l'idée du siècle, mais sympathique en diable!!
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Georges Delerue : De Roubaix à Hollywood ...

Cette biographie est l'hommage de l'animateur de radio et de télévision Vincent Perrot à l'immense compositeur de musique de film, né en 1925 à Roubaix, auteur de centaines de musiques pour le cinéma, mais aussi d’œuvres de concert.

Parmi ses compositions les plus célèbres Le Mépris (1963), le Corniaud (1964), la Nuit américaine (1973), Le dernier métro (1980), Dien Ben Phu (1992) ...

Commencé avec la nouvelle vague, sa carrière se finira à Hollywood après un Oscar et trois César.

Ce livre, célébration d'un très grand mélodiste, contient pas mal de photos (en noir et blanc uniquement malheureusement) de Delerue, de ses collaborations avec les réalisateurs, des affiches des films, et des pochettes de disques (oui, l'ancêtre du CD).



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Une réplique qui tue par jour

Une réplique qui tue par jour.. Ou le bouquin qui traînasse depuis des lustres sous la table basse du salon...



Voilà l'exemple parfait du bouquin qui traînasse, toujours dans un coin ou un autre.. qui se feuillette de temps en temps, qui se fait ouvrir lors d'apéro entre potes...

qui fait sourire... pas toujours...

qui fait embrayer les conversations, qui sert de base à des quizzs toujours lors d'apéro entre potes..

y en a des bonnes

y en a des nulles

y en a des archi connues

et puis des inconnues

ça s'échelonne de 1931 à 2008.. donc bon c'est pas récent récent..

et que du cinéma français aussi...

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B.O.F. Musiques et compositeurs du cinéma fra..

L'animateur télé et radio Vincent Perrot a réalisé avec cette ouvrage une petite anthologie de la musique de film française : un historique, 100 filmographies essentielles, trois hommages à Ennio Morricone, Georges Delerue et Michel Magne, un chapitre sur la petite histoire des grandes B.O., une discographie bien sûr, et surtout une série d'entretiens avec les principaux compositeurs.

Ce livre est un régal pour l'amateur de musique de film, qui y retrouve le meilleur de la musique produite pour le cinéma français. Les interviews menées sont un précieux témoignage sur les formations des compositeurs, leur façons de faire, les expériences de collaboration avec les réalisateurs et les producteurs et sur les choix d'illustration musicale.

L'ouvrage est richement illustré de photos couleur et noir et blanc, dont de nombreuses photos de sessions d'enregistrement.

Il est doublé d'un DVD qui reprend les rencontres avec les auteurs.
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Georges Delerue : De Roubaix à Hollywood ...

Quelques années seulement après son décès, le compositeur Georges Delerue a eu droit à deux biographies publiées en France, C'est beaucoup et, en même temps, ce n'est pas satisfaisant. Les deux livres pèchent par excès de complaisance. Celui de Vincent Perrot, plus récent, est un peu plus complet, mieux illustré et bénéficie d'un entretien de l'auteur avec avec Delerue, alors en fin de carrière à Hollywood. Cependant, l'absence quasi totale de recul critique fait en sorte que sa démarche semble avoir été commanditée par la succession du compositeur. En effet, celle-ci a toujours soutenu que Delerue avait connu une carrière prestigieuse pendant les dix dernières années de sa vie à Hollywood. Les faits démentent cruellement cette prétention. Le compositeur a plutôt gaspillé son talent pour des films ou des télé-séries qui, pour la plupart, sont rapidement tombés dans l'oubli. Rien à voir avec la prestigieuse carrière internationale de son compatriote Maurice Jarre. Aujourd'hui, Delerue demeure connu et apprécié avant tout pour ses collaborations au cinéma français dans les années 1960 et 1970, incluant bien sûr la Nouvelle-Vague, avec des réalisateurs comme François Truffaut et Godard (Le Mépris) et, dans un registre plus léger, Philippe de Broca. Ses musiques pour les films anglo-saxons qui ont le plus contribué à sa renommée ont également été écrites en France durant la même période : Anne of the Thousand Days, A Little Romance (qui lui a valu son unique Oscar), The Day of the Dolphin, Interlude, Rapture, A Man for All Seasons, Women in Love, Our Mother's House, The 25th Hour, Julia, A Walk With Love and Death, The Horsemen et j'en passe. Comme quoi le compositeur n'avait nul besoin de s'expatrier pour relever des défis intéressants et lucratifs en provenance de l'étranger. En musique comme en amour, on se fait souvent mieux désirer en conservant une certaine distance. En demeurant en France, le compositeur aurait pu continuer à profiter du meilleur des deux mondes, le nouveau et l'ancien continent, à l'exemple d'un Michel Legrand ou d'un Francis Lai. D'ailleurs les conditions matérielles pour la production de la musique en France se sont améliorées sensiblement après l'installation de Delerue aux États-Unis.



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Vladimir Cosma comme au cinéma

Sans jamais céder à une hagiographie convenue, Vincent Perrot livre un document intelligent sur l'un des compositeurs les plus populaires du cinéma français. On y découvre des éléments biographiques, bien sûr. Le contexte qui vit l’éclosion de cette carrière unique en son genre mais aussi des analyses extrêmement pointues de bandes originales où chaque morceau est disséqué, décrit avec passion et des anecdotes sur des tournages, et des enregistrements. Cosma a été un excellent vendeur de disques, notamment avec la BO de "la Boum", "Le grand blond", "L'amour en héritage", ...
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Georges Delerue : De Roubaix à Hollywood ...

Georges Delerue est un musicien disparu voilà trente ans et qui continue de plaire grâce à une écriture à la fois simple et complexe. Rien ne le prédestinait à la musique et il aurait dû etre ouvrier. Après ses heures de travail, il a suivi une formation, est monté à Paris et à déniché les premiers contrats : musique de scène, courts-métrages, publicités, avant d'être adoubé par la Nouvelle-Vague. Son sens de la mélodie et la dextérité de ses orchestrations lui ont valu de travaillé aux Etats-Unis. Après un Oscar pour la BO de "Il love you, je t'aime", il traverse l'Atlantique et s'installe sur la Côte Ouest. Là; il bénéficie de conditions de travail que la France ne lui permettait plus. Bon livre fort détaillé et émaillé de clichés tirés de la collection de la famille Delerue.
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B.O.F. Musiques et compositeurs du cinéma fra..

Fameuse présentation des compositeurs qui sévissent ou ont sévi dans l'Hexagone. le livre se compose d'une série de questions posées à une quantité de grandes pointures de la musiqué de film (Delerue, Sarde, Demarsan, Bolling, Lai, Legrand, ... ) auxquelles répondent les intéressés. Puisque le plupart d'entre-eux ne sont plus là, cet ouvrage prend une dimension nostalgique. Vincent Perrot cherche à nous faire comprendre les coulisses de la création : inspiration en fonction des images, budget alloué à un score, relations avec le metteur en scène, montage, etc. L'occasion également de revenir sur le genèse de quelques BO mythiques (Le professionnel, Un homme et une femme, Les valseuses, etc.) et de saisir les conditions de travail en France.
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Georges Delerue : De Roubaix à Hollywood ...

Ils sont peu, en France, a avoir pu accéder au statut de compositeurs vedettes pour musiques de films et, en outre, à avoir pu faire un tour d'horizon des différents genres cinématographiques. Si l'on pense immédiatement à Vladimir Cosma, dont le travail dans le cinéma grand public est indéniable, Georges Delerue, lui, eut l'avantage de faire la jonction entre la production intello pure et dure façon Nouvelle Vague et les films populaires et assumés comme tels à la manière des comédies de Philippe de Broca. Georges Delerue est ici analysé à travers ses œuvres de manière efficace. Compositeur discret, il est de ceux qu’on regrette aujourd’hui lorsqu’on découvre les patchworks sonores qui accompagnent la plupart des films contemporains.
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Aznavour. Ma vie, mes chansons, mes films...

Né à Paris, Charles Aznavourian est le fils d’émigrés arméniens aux lointaines origines turques. Ses parents galèrent dans le XIIIe arrondissement et ouvrent un restaurant russe animé par le père, un artiste doué. Femme et enfants participent à l’affaire. Famille unie : pauvre sans être miséreuse. Charles a une sœur Aicha, qui chante comme lui et épousera Georges Garvaventz, un bon compositeur de musique.

A neuf ans, Charles est déjà engagé dans une petite troupe de théâtre. Il apprend vite, chante et danse à la russe. Il va, obstiné, courir le minable cachet. C’est à la mode : il s’allie avec un intelligent pianiste nommé Pierre Roche. En duo, ils interprètent leurs compositions. Succès reconnu, mais Roche tombe amoureux de la jolie chanteuse canadienne Aglaé et la suit là-bas. Charles se retrouve seul.

La critique cruelle l’éreinte, se gausse de lui, moque sa voix rauque et son air coincé. En professionnel, il va soigner son timbre, étudie l’anglais et perfectionne la gestuelle.

Il sera reconnu à trente-six ans. « Je m’voyais déjà » le propulse au pinacle. Il offre des chansons à d’autres : Bécaud, Vartan, Johnny (l’idole des jeunes) et, plus tard, Ray Charles. Il manque périr dans un grave accident de voiture décapotable que la Môme Piaf lui paya. Riche, Aznavour s’offrira cinq Rolls-Royce.

Il quitte le music-hall pour le cinéma. Truffaut lui offre un rôle doré sur tranches : « Tirez sur le pianiste ! » Il étonne dans « Un Taxi pour Tobrouk » et « Le tambour. » Epatant quand il ne cligne pas de l’œil droit sans cesse (tic), il devient l’ami de l’énergique Annie Cordy. Charles se paie des implants capillaires et triomphe aux States. Il livre une flopée de grands « tubes » que toutes et tous nous connaissons. Il emballe le public avec « Paris au mois d’août », « Que c’est triste Venise », « La bohême » (bijou ciselé). Il lit, se cultive et vend des centaines de milliers de disques avec la Mamma mourante et rencontre Giorgio, le fils maudit, et l’oncle venu du sud de l’Italie avec des présents pleins les bras.

Auparavant, il se complaira avec Piaf, huit ans. Elle en fit son secrétaire, sa « petite main », son pianiste privé et son chauffeur. Elle lui paie l’avion pour New York pour subir une chirurgie esthétique nasale. Il chante encore et toujours, cette fois en se rappelant que la misère lui paraît moins pénible au soleil.

Il défend la cause des homosexuels (« Ceux qui disent »), se marie trois fois, a six enfants, s’installe en Suisse, parcourt le vaste monde et joue à cache-cache avec les impôts. Charles reçoit enfin la nationalité arménienne, lui qui défend bec et ongles ses origines. Ambassadeur permanent de l‘Arménie, il est statufié à Erevan. Il s’essaye à nouveau au jazz sans succès : il n’est ni Claude Nougaro ni Guy Marchand. L’Incontournable Charles se donne à l’écriture et il cartonne. Ses souvenirs passionnent.

Aznavour n’a pas d’âge avec sa culture immense. Il demeure éternel, père de près de neuf chansons. « Formi, formidable… !».

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Vladimir Cosma comme au cinéma

En 1968, Yves Robert lui confie sa première musique de film pour Alexandre le bienheureux, en remplacement de Michel Legrand, trop occupé2. Vladimir Cosma, depuis, a composé plus de trois cents partitions pour des films de longs métrages cinéma et séries télévisées.On lui doit la musique de très nombreux succès du cinéma parmi lesquels : Le Grand Blond avec une chaussure noire, Diva, Les Aventures de Rabbi Jacob, La Boum, le Bal, L'As des as, La Chèvre, Les Compères, Les Fugitifs, Les Zozos, Pleure pas la bouche pleine, Dupont Lajoie, Un éléphant ça trompe énormément, Les Rois du gag, L'Animal, La Dérobade, Le père Noël est une ordure, L'Étudiante, La Gloire de mon père, Le Château de ma mère, Les Malheurs d'Alfred, Le Distrait, La moutarde me monte au nez, La Course à l'échalote, Je suis timide mais je me soigne, Le Jouet, Le coup du parapluie, L'Aile ou la Cuisse, Banzaï, Inspecteur la Bavure, Le Dîner de cons…

Il collabore notamment avec Yves Robert, Gérard Oury, Francis Veber, Claude Pinoteau, Jean-Jacques Beineix, Claude Zidi, Ettore Scola, Pascal Thomas, Pierre Richard, Yves Boisset, André Cayatte, Jean-Pierre Mocky, Édouard Molinaro et Jean-Marie Poiré.Vladimir Cosma s'est également illustré dans d’importantes productions télévisuelles françaises et américaines : Michel Strogoff, L'Enlèvement de David Balfour (Kidnapped), L'Amour en héritage (Mistral's Daughter), Châteauvallon, Les Mystères de Paris, Les Cœurs brûlés…

Depuis quelques années, il se consacre à la musique classique. Sans doute parce que les jeunes cinéastes préfèrent travailler avec des compositeurs de leur génération.

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Aznavour. Ma vie, mes chansons, mes films...

Artiste complet, Charles Aznavour est l'exemple de l'homme qui est toujours resté debout, face aux emm... ou au succès. Star célébrée internationalement, il revient sur son travail de compositeur, de parolier, d'interprète et d'acteur. Ces dernières années, on a un peu oublié qu'il était un comédien plein de talent vu au générique de longs métrages tels que Le passage du Rhin, Les dragueurs, Les vierges, Le rat d'Amérique, Dix petits nègres, Le père Goriot, Tirez sur le pianiste, La métamorphose des cloportes, etc. Voilà un livre qui fait office de madeleine de Proust et nous balade plusieurs décennies en arrière, à une époque où le cinéma se travaille encore en noir et blanc avant de passer à la couleur.
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Une réplique amoureuse par jour

Livre bien sympathique. Cela se feuillette de temps en temps, au gré de nos envies.
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Une réplique qui tue par jour

Livre bien sympathique. Cela se feuillette de temps en temps, au gré de nos envies.
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Une réplique comique par jour

Livre bien sympathique. Cela se feuillette de temps en temps, au gré de nos envies.
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