« C’est comme si je pouvais capter ton (votre) regard. Nos coeurs sont à l’unisson. Tout comme nos souffles. Ne perds(ez) jamais espoir, garde(z) foi en la vie. Un jour, nous nous retrouverons, je te (vous) le promets. »
Le regard ! Une véritable science. Une forme de maîtrise absolue qui confinait à l'invisibilité. Faire en sorte que vos yeux n'attirent pas l'attention d'autrui. Devenir une toile cirée sur laquelle tout glisse demandait beaucoup de travail, de pratique, et un peu de talent. Trop de stress, de tension, faisait de votre regard un véritable hameçon, un aimant qui verrouillait sur vous, ce que vous cherchiez à éviter.
Le mal, quand il est absolu, se prive volontiers de motivations.
Il savait par expérience que, coïncidence plus coïncidence égalait à une certitude.