- Cela doit être affreux, d'être mort ! s’exclama Evelyn M.
- D'être mort ? fit Hewet. Je ne vois rien d’affreux à cela. C’est très facile à imaginer. Quand vous irez vous coucher ce soir, joignez les mains comme ceci, respirez de plus en plus lentement (il s’étendit sur le dos, les mains serrés sur la poitrine, les yeux fermés). - À présent, murmura-t-il d’une voix blanche, monotone, je ne bougerai plus jamais, jamais, jamais. (p. 191)