Comme si les ignorants qui avaient perpétré ces crimes ne s'étaient pas d'abord inspirés des films et des jeux de Hollywood... qu'ils aillent arracher les racines de la violence là où elle a poussé, et non dans ses prières. Aucun des assassins n'était pratiquant.
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Il n'était pourtant pas compliqué de voir que, depuis le 11 Septembre, les tueurs avaient toujours choisi de parler le langage de l'Occident : la violence graphique, spectaculaire. L'esthétique du massacre, c'est Hollywood qui en a fixé les règles.