Albert, quant à lui, sent cette souffrance qui embaume les lieux. Sous ses pieds, l’herbe se fait de plus en plus fraîche. Les brindilles deviennent des pics froids et saillants. Les sillons dans la terre prennent des allures d’affreux labyrinthe. Sous ce chêne centenaire, trois âmes silencieuses s’inquiètent.