Nationalité : France
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Biographie :
Virginie Platel est à la fois violoniste et scénariste professionnelle. Elle a participé, entre autres, à l’écriture de séries à succès pour la télévision telles qu’"Un gars, une fille", "Scènes de ménages", "Parents Mode d’emploi", "Mère et fille"…
Passionnée par la musique et l’écriture depuis toute petite, elle est l’auteure de "D’éon" (pièce de théâtre historique), de nouvelles parues dans le recueil "La Musique à travers les époques", du "Fil de la vie", son premier roman, de la comédie romantique à suspense Symphonique Show.
Elle est également sociétaire de la SAC (Société des auteurs et compositeurs dramatiques).
Désireuse désormais de conter ses propres histoires, Virginie signe en tant qu’auteure des romans dans des genres différents : historique, policier, SF Time travel, des comédies chicklit ou encore et surtout des romances.
http://virginieplatel.blogspot.fr
+ Voir plusVirginie Platel est à la fois violoniste et scénariste professionnelle. Elle a participé, entre autres, à l’écriture de séries à succès pour la télévision telles qu’"Un gars, une fille", "Scènes de ménages", "Parents Mode d’emploi", "Mère et fille"…
Passionnée par la musique et l’écriture depuis toute petite, elle est l’auteure de "D’éon" (pièce de théâtre historique), de nouvelles parues dans le recueil "La Musique à travers les époques", du "Fil de la vie", son premier roman, de la comédie romantique à suspense Symphonique Show.
Elle est également sociétaire de la SAC (Société des auteurs et compositeurs dramatiques).
Désireuse désormais de conter ses propres histoires, Virginie signe en tant qu’auteure des romans dans des genres différents : historique, policier, SF Time travel, des comédies chicklit ou encore et surtout des romances.
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Là aussi, comme pour le violoncelle, il va falloir que tu me montre…
Il n’y a pas de règle. Ecoute ton corps et suis ton cœur, lui répondit sur un ton complice Alison.
Il n’y a pas de règle. Ecoute ton corps et suis ton cœur, lui répondit sur un ton complice Alison.
Je voudrais une société plus juste et équilibrée. Que les richesses ne soient pas détenues uniquement par une poignée de privilégiés assis sur du velours et qui n'ont jamais mis les mains dans la terre.
- Tu vois, elle [madame Vigée-Lebrun] a immortalisé les plus illustres personnages de son temps, mais on ne se rend pas vraiment compte de la vie qu'elle a eue. C'est un peu comme si elle était sublimée avec toute cette époque.
- Oui, elle est restée figée, comme ses toiles !
- Mais la vraie vie n'est pas dans la représentation qu'on s'en fait ni dans son interprétation. C'est comme si on préférait la copie à l'original.
- Oui, elle est restée figée, comme ses toiles !
- Mais la vraie vie n'est pas dans la représentation qu'on s'en fait ni dans son interprétation. C'est comme si on préférait la copie à l'original.
Vous allez participer à la soirée qui a précédé le drame, reconstituée grâce aux souvenirs du comte. Soirée durant laquelle vous incarnerez l'une des invitées présentes, et ce, sous votre nom véritable. Vous aurez alors à identifier plusieurs suspects potentiels, confondre un coupable éventuel et, en définitive, élucider l'énigme entourant la mort de Lionel Verney.
On dit que l'heure la plus sombre vient avant une aurore splendide. En effet, la lumière du présent est aveuglante comparée à l'obscurité du passé que nous venons de quitter...
Entre autres défauts, Justine était indiscrète et bavarde de nature. Son père détestait sa langue bien pendue, mais elle lui était cependant bien utile pour ses affaires. Justine avait pour habitude en effet d’aller quérir au village quelques ragots.
Elle prit une profonde inspiration, galvanisée par toute cette beauté qui la nourrissait de l'intérieur et qui avait contribué à faire passer une personne anxieuse et angoissée sur son avenir comme elle à un être serein.
Elfi savait toutefois très bien que lorsqu’une femme vous confiait ses secrets intimes, c’était souvent avec l’intention qu’ils reviennent dans la face de celui qui lui avait fait du mal, à la manière d’un boomerang.
Quel triste sire que ce jeune homme ! Aucune réflexion ! À sa décharge, sans doute était-ce le fruit de son éducation. Il ne faisait hélas que se conformer à une opinion très répandue dans la gent masculine selon laquelle les femmes ne devaient pas se consacrer à l’étude, mais uniquement au bien de leur ménage, à leurs enfants et aux activités domestiques. Était-ce un mal si Marie voulait vivre de sa passion tout autant qu’un grand amour capable de la comprendre ? Était-ce trop demander ?
Garder le secret faisait probablement aussi partie du contrat. Parvenu en âge d’étudier, Henri avait été confié à une institution catholique, avant d’intégrer une école militaire pour y faire carrière. Il s’était ensuite brillamment illustré dans diverses batailles et avait progressivement gagné ses galons. Distingué par le roi de France, Louis XIII, il était entré à son service en qualité de mousquetaire et s’était acquitté de sa tâche : assurer la garde du souverain à l’extérieur.
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