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3.87/5 (sur 287 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) à : Bologne , le 24/12/1946
Biographie :

Vittorio Giardino est un dessinateur, scénariste et coloriste italien de bande dessinée, né le 24 décembre 1946 à Bologne.

Après avoir exercé le métier d’ingénieur pendant 10 ans, il se lance dans la bande dessinée en 1978.

En 1979, il crée sa première série avec le détective Sam Pezzo pour le mensuel Il Mago. En 1982, c'est dans les pages d’Orient Express que commencent les aventures de Max Fridman, un espion juif français, dans les années qui précédent la Seconde Guerre mondiale.

En 1983 paraissent les premières planches de Little Ego, un pastiche érotique du Little Nemo de Winsor McCay.

Vittorio Giardino entame une nouvelle série en 1993, Jonas Fink, l’histoire d’un jeune garçon dans la Tchécoslovaquie des années 1950, sous le régime communiste. Avec Jonas Fink il reçoit l'Alph-Art au salon d'Angoulême ('95) et l'Harvey Awards au San Diego Comic Con. ('98)
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Source : Wikipédia et http://users.skynet.be/vittorio_giardino_universe
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Du 20 juin au 31 juillet 2018, la Galerie Gallimard célèbre aussi "40 ans de roman en bande dessinée" et présente une exposition d'originaux des plus grands récits et artistes qui font la fierté de notre catalogue. ? bit.ly/40ansRomanBD Nous aurons l'honneur de vous présenter une sélection d'?uvres de Zeina Abirached et Mathias Enard, Baru, Enki Bilal, Max Cabanes, Catel BD et Bocquet José-Louis, Jean-Christophe Chauzy, Didier Comès, Nicolas de Crecy et Sylvain Chomet, Ludovic Debeurme, Frantz Duchazeau, Jacques Ferrandez, Vittorio Giardino, André Juillard, Jacques de Loustal et Philippe Paringaux, Lorenzo Mattotti, M?bius, José Muñoz & Carlos Sampayo, Anthony Pastor, Vincent Perriot, Hugo Pratt, Jean-marc Rochette et Jacques Lob, Grzegorz Rosi?ski et Jean van Hamme, Christian Rossi et Géraldine Bindi, David Sala, Francois Schuiten et Benoit Peeters, Jacques TARDI et Jean Claude Forest, Bastien Vives.

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Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
Le danger faisait partie de lui-même. Ce n'était pas comme un par-dessus que l'on peut parfois oublier : c'était comme la peau. Ils mourraient ensemble.
Graham Greene
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- La mort ne me fait pas peur...à condition que ça serve à quelque chose. Pas à vos conneries.
- Mourir est toujours une connerie.
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La journaliste :
Alors, Fridman. Vous avez promis de me raconter....

Max Fridman :
C'est très simple, mademoiselle Blon. Guido Treves, un ami qui était avec moi à la 12ème brigade, a disparu il y a deux mois. Je le cherche.

La journaliste :
Il est peut être...enfin...

Max Fridman :
Mort ? Peut être. Mais il ne figure pas sur la liste des morts ou des disparus.

La journaliste :
Les brigades internationales ont été dissoutes. Pourquoi le cherchez vous sur le front ?

Max Fridman :
Aux dernières nouvelles, il voulait parler au général Galgo et Galgo était au front.

La journaliste :
Je ne comprends pas....L'autre soir, vous dîniez avec Galgo. Vous auriez pu l'interroger sur votre ami et éviter ce voyage....

Max Fridman :
Galgo n'a pas vu Treves depuis plus d'un an. Il ignorait même qu'il avait disparu. C'est du moins ce qu'il m'a dit.

La journaliste :
Vous pensez qu'il mentait ?

Max Fridman :
Je ne pense rien. J'espère juste trouver une piste.
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Le combat politique n'est pas un jeu de société. l'imprudence d'un individu ne peut compromettre tout le mouvement.
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- Les livres sont une marchandise étrange. On peut commencer par les vendre et finir par les écrire. (p. 83)
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En 1994, je concluais la préface par ces mots : " C'est peut-être cela que j'ai tenté de faire : une histoire de l'autre côté de la frontière. Quand la frontière existait encore."
Je crains qu'aujourd'hui je n'écrirais plus la même chose.

Préface, p. 11
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Espagne, front de l'Ebre été 1938.

Vous connaissez les ordres, non ?

Oui, mais impossible de résister. On a été bombardés pendant quatre heures, j'ai perdu plus de la moitié de mes hommes, camarade commissaire.

Peu importe, vous ne deviez pas battre en retraite, les ordres étaient clairs. et ne m'appelez pas "camarade" !

C'est de la folie. J'aurais du laisser massacrer mes hommes jusqu'au dernier ?! Pourquoi ?

Ce n'est pas à vous d'en juger, vous deviez exécuter les ordres. "Tout officier abandonnant sa position sans ordre sera fusillé". Emmenez-le !

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L'enfance
Pourquoi n'est-ce pas juste ? Quel mérite a-t-il, ce Fink ?
Il a grandi dans une famille riche, entouré de livres, il est normal qu'il réussisse dans ses études !
Si c'était un fils d'ouvrier il n'aurait jamais vu un livre avant d'aller à l'école, chez lui il n'aurait parlé que le dialecte local, et sans doute à son âge serait-il déjà allé travailler !
Cela vous semble juste ?
Non. Le critère à adopter doit être politique. Nous sommes en train d'établir un monde nouveau sans classes. Ce qui est juste et tout ce qui sert ce but !
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"Mais il n'y a rien, pas de point de vente, aucun service, pas d'électricité...le néant"...
"Justement un néant en harmonie avec l'univers"
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Un soir, il nous raconta qu'il avait pris un verre avec un espion et que la règle numéro un pour ce genre de personnage était de toujours se mettre dos au mur. J'aimais bien ces histoires.
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