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3.16/5 (sur 48 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Née en 1962, à Paris, de parents nés à Budapest, Viviane Chocas est journaliste depuis vingt ans. Grand reporter pour RTL et Le Parisien. Bazar Magyar, aux accents autobiographiques, est son premier roman.

Source : http://www.editions-heloisedormesson.com/auteur.php?pageNum_rs_auteur=12&totalRows_rs_auteur=61
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LA GRANDE EMISSION vendredi 03 février 2012 Je vais beaucoup mieux que mes copains morts, Viviane Chocas, Editions Héloïse D'Ormesson Rosa Bonheur Liberté est son nom, Gonzague Saint- Bris,Editions Robert Laffont


Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Née en France de parents nés au-delà, c'est par les mets sur la table, et le croquant sous la dent, le piquant de la salive, la résonance du tube digestif que j'ai abordé ce continent interdit d'où venaient ces deux-là qui m'avaient conçue.
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Parfois il suffit de manger, pour que tout, ou presque, puisse être dit.
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On n'a jamais vu un régime politique renverser une cuisine nationale.
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Tu as bien entendu un problème de langue!Oui ma fille,car figure toi qu'une langue ça vit! Ca s'agite,ça s'encanaille,ça prend des coups,ça fait des découvertes,ça évolue...Ou ça dépérit!Et je sais moi,combien il faut habiter une langue pour lui permettre de mûrir,de bien vieillir! L'habiter par nos gestes,par nos corps,l'habiter par chacun de nos pas,chacune de nos colères,de nos envies...
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Le miracle du Rakott palacsinta tient à l'incroyable légèreté de la pâte à crêpe, qui plisse en ses rebords comme la robe des pois de senteur. C'est un gâteau extraordinairement digeste en dépit des apparences, qu'on ne peut cuisiner (et avaler!) que lorsqu'on croit encore à tout ce qui reste maternel, grand-maternel, à tout ce qui reste.
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Non, ce qui pèse cruellement pour l’individu nostalgique, c’est cette ignorance de ce qu’il aurait pu devenir... s’il était resté là-bas. S’il n’avait pas fait ce qu’il a pourtant fait. C’est d’être privé de tout pouvoir sur cette autre vie à laquelle il a échappé. Sur cet autre soi-même, qui déambule, fantôme condamné à ne pas vieillir. Aurais-je été plus beau, plus riche, plus célèbre, plus heureux, plus malheureux, si différent, si j’étais resté là-bas ?
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Le désir! On ne rouille pas de vieillesse, on ne se ratatine pas parce qu'on manque de sommeil,de soupe ou d'une couverture chauffante! On rouille de la fuite du désir!
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Ma chérie, en Hongrie, voilà depuis toujours ce qu’on a coutume de dire, quand un couple essaie de se rabibocher sans succès. Seul le chou farci est meilleur réchauffé !
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Une vie derrière soi, ça n'empêche pas d'avancer encore.
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Avant même ma naissance,et peut-être pour me permettre d'entrer dans un monde à leur sens lavé de tous soupçons,la langue hongroise avait été violemment rejetée de leur intimité,eux qui adolescents avaient pourtant appris à s'aimer en magyar.Mais il me semble aujourd'hui que Zsuzsa retenait encore une part infime de l'amour de Péter dans chacune des bouchées avalées.
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