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Critiques de Waciny Laredj (9)
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La maison andalouse

Les maisons gardent-elles les souvenirs des vies passées entre leurs murs?

Mourad Basta, un vieil Algérien tente de conserver la demeure andalouse à laquelle il est viscéralement attaché. Car elle possède une histoire très particulière. Elle a été bâtie sur un ancien site romain par son ancêtre Sid Ahmed ben Khalil, dit Galileo el Rojo, morisque expulsé d'Espagne après l'échec de leur révolte , et qui a trouvé refuge à Alger.

Mourad se bat contre des promoteurs corrompus alliés à la municipalité qui veulent raser la vieille demeure pour y bâtir une tour sans charme.

Dans ce combat du pot de fer contre le pot de terre, l'homme peut compter sur l'aide d'une jeune femme de la même ascendance que lui, et qui a mis la main sur un manuscrit rédigé quelques siècles auparavant par Galileo.



A travers l'histoire d'une bâtisse construite au XVIème siècle en souvenir de l'Espagne, par un morisque épris d'une marrane, Waciny Laredj dénonce la corruption qui gangrène la société algérienne. Cette fresque historique ambitieuse pointe le doigt sur un système politique mais ce n'est pas cet aspect de l'oeuvre qui m'aura le plus intéressée.

Tel un palimpseste, la maison andalouse garde l'historique des traces anciennes et permet au romancier d'évoquer les évènements majeurs qui se déroulèrent entre ses murs, occupants français, algériens… , elle est une métaphore de la ville d'Alger.

Dans l'évocation des hommes des siècles passés, c'est la personnalité de Galileo l'ancêtre d'Andalousie, l'amoureux des livres qui a couché ses souvenirs, qui a retenu toute mon attention. Car à travers lui, Waciny Laredj retrace le destin des morisques, la guerre des Alpujarras, l'arrivée des expulsés à Alger et autres villes côtières. Il retrace aussi l'histoire d'une ville qui avait un mode de fonctionnement très particulier, la Régence d'Alger.



Galileo est touchant dans sa volonté farouche de reproduire une demeure dans le style andalou sur l'autre rive de la Méditerranée, pour sa femme adorée. La religion n'a aucune importance pour lui, le morisque amoureux d'une marrane et ami des chrétiens. Mais c'est lorsqu'il est appelé pour officier en tant qu'interprète auprès d'un captif espagnol aux cheveux roux qui n'est autre que Cervantès, que l'intérêt du lecteur s'accroit encore davantage. Il va tisser des liens étroits avec l'auteur du Quijiote qui va lui raconter les affres de sa condition de prisonnier, les différents combats auxquels il a participé et ses tentatives d'évasion pour regagner l'Espagne.

Face à un telle existence , des sommets enneigés des Alpujarras à la rencontre avec le manchot de Lépante, les malheurs de Mourad tombent vite dans les oubliettes.
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Les Fantômes de Jérusalem

Ce livre est imprégné de la tourmente de l'exil, de ses tragédies. L'exil qui ronge l'âme, assombrit le cœur, attise les regrets et amoindrit le souffle de la vie tant il rétrécit l'existence.



L'exil, c'est celui que connaît May, artiste peintre d'origine palestinienne.



Petite fille en 1948, elle s'est enfuie de sa terre natale, la main glissée dans celle de son père pour prendre cet immense bateau qui leur ferait traverser les mers et atteindre le sésame du Nouveau Monde : les portes d'Ellis Island.

Les autres membres de la famille ont été décimés, elle ne l'apprendra que beaucoup plus tard, lasse d'attendre les réponses aux questions qu'elle ne cesse de poser. Son père part à Seattle où il a trouvé du travail, la pauvreté et la misère le rongent autant que les remords et les souvenirs. May reste auprès de sa tante, pianiste, pour qui elle éprouve un attachement profond.





Quand le récit prend toute sa fougue ou plutôt son envol - comme ces papillons incessamment cités, incessamment présents, à telle présence imagée qu’ils ont donné leur nom à une nuance de couleur créée par l’artiste, May se sait condamnée et décide de transcrire son passé et ses émotions dans un symbolique cahier bleu qu'elle confiera à son fils comme un legs.

Et c'est l'histoire de la Palestine juste après le second conflit mondial, son partage, son morcellement qu'elle raconte à travers ses yeux d'enfant, perceptions floues et en miroir de sa jeune vie passée, puis avec le recul du jugement de l'adulte.

La progression du récit est habilement liée à la description des tableaux qu'elle réalise et prépare pour son ultime exposition à l'intention d'une œuvre charitable pour des enfants.

Des tableaux comme des petits cailloux déposés pour jalonner une existence, pour revenir vers une vie trop douce qui n'a existé que trop peu, vers le début des sentiments flamboyants qui ne seront plus.





Toutes les pages transpirent de la nostalgie des rues foulées dans Jérusalem alors en paix, ville lumineuse dans laquelle les trois communautés arabe, juive et chrétienne vivaient ensemble et dans la sérénité avant le départ des occupants britanniques et les décisions prises à ce moment par l’ONU.



Une terre qu'elle aime par dessus tout, dans laquelle on lui refuse le dernier repos, une terre qu'elle n'a jamais revue, qu'elle a idéalisée , parée de toutes les qualités et qui pourtant lui est refusée désormais.





C'est un livre sur cette période de l'Histoire qui sans se faire leçon donne une vision des événements avec un regard différent, qui relie la barbarie de la Shoah à la puissance du sionisme, le partage d'une terre de paix en un territoire devenu colère et violence, qui relie ces décisions prises en 1947-1948 au jour tragique de Septembre 2001, comme si le fil de la terreur, de la vengeance, de l'incompréhension tirait toutes ces mains qui détruisent et ôtent la vie.

Un récit passionnant dans une langue riche, presque un texte en prose, qui murmure comme une mélopée continue les mots, comme un bercement lancinant, pour dire le drame de cette terre et de ces hommes différents et ennemis aujourd’hui mais si proches auparavant.

Et qui dit aussi le drame des conflits des autres temps passés et à venir qui ne sont que l'éternelle répétition d'un même aveuglement humain et d'un même refus de compréhension, le refus de la main qui pourrait se tendre.





"Réfléchir d'une manière désespérée sur le passé, c'est trahir le présent."
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Le livre de l'émir

Au fil des pages, on découvre un homme érudit, et amoureux des livres. Un musulman soufi, favorable au rapprochement entre l'Orient et l'Occident, entre l'islam et le christianisme. D'ailleurs, Laredj fait tourner son récit autour de la relation particulière tissée entre l'Émir et Mgr Antoine Dupuch, premier évêque d'Alger qui n'a pas ménagé sa peine pour aider à la libération de l'Emir (un dialogue des civilisations ?). La relation entre les deux hommes est restitué avec détails.



L'Emir avait rencontré Antoine Dupuch, en 1841, lors des négociations portant sur l'échange des soldats français capturés. Frappé par la grandeur d'âme et l'érudition de son interlocuteur, Mgr Dupuch était devenu l'un de ses amis les plus fidèles. Il lui rendra visite à maintes reprises lors de sa détention à Pau et à Amboise, discutera longuement avec lui des fondements du christianisme et de l'islam, plaidera éloquemment sa cause devant l'opinion publique française et finira par obtenir, avec d'autres admirateurs de l'illustre prisonnier, la fin de sa captivité en France.

Un récit historique monumental Les combats de l'Emir Abdelkader décrits dans les moindres détails... ainsi que les trahisons, les traîtrises, les cruautés, les lâchetés mais aussi les soutiens, la fidélité
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Les Balcons de la mer du Nord

Quelle(s) histoire(s) ! D'abord celle d'une femme. Puis d'un pays. Les deux (désespoirs et amours) se confondant. Mais, tous les deux plongés dans une douloureuse tristesse et dans une re-cherche du bonheur et du pays perdus. ... Le pays a sombré dans le crime et le sang, dans la chasse de tout ce qui doute ou pense, dans le meurtre de tous ceux qui créent. La re-cherche de la femme aimée, physiquement partie définitivement mais toujours occupant l'esprit et le cœur. Heureusement, il y a l'art, la sculpture, l'expression culturelle… clandestine, et heureusement reconnue ... par les autres. L'étranger ! Dans les balcons de la mer du Nord. Amsterdam, la paisible, l'équilibrée, chargée d'histoire, antre des belles –lettres et des arts, à la mémoire toute pleine. Le refuge et, peut-être, la nouvelle raison de vivre !



Le héros de Yacine Kateb a eu, pour amour et espoir, Nedjma. Celui de Waciny Laredj a, pour aimée et désespoir Fitna. La prêche est dite ! Les deux sont perdues à jamais, mais il y a, heureusement, des héritières… toujours, hélas, dans l'ailleurs : Clémence (Traduisez Rahma, la fille ( ?) de Fitna… et de Yacine, conçue il y a bien longtemps), et, surtout, Narjis, l'amour platonique (et seulement épistolaire) de la prime jeunesse. Alors, une voix de la radio… désormais exilée. Des retrouvailles qui réconcilient le héros avec l'amour mais pas avec l'espoir… Peut-être à Los Angeles, la prochaine étape ? Qui sait.



Avis- Superbe traduction d'un mélange extraordinaire de plusieurs récits de vie... avec pour fonds la tragédie nationale ayant poussé à l'exil, et l'amour, seule bouée de sauvetage de l'humain. Il est évident que la lecture en arabe (l'écriture étant bien plus «poétique») apporte bien plus de contentements intellectuels à notre imaginaire «oriental». Mais, comme il ne faut jamais «rater» une œuvre de Waciny Laredj...

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La maison andalouse

Présenté comme le livre le plus ambitieux de son auteur, l'algérien Waciny Laredj, La maison andalouse est effectivement un roman foisonnant qui se promène entre plusieurs époques et de très nombreux personnages. S'il n'est pas difficile à suivre, ses fréquents retours dans le passé diluent un peu l'intérêt tant la lutte d'un vieil homme, prénommé Mourad, pour conserver une maison héritée de ses ancêtres, mérite d'être au premier plan pour ce qu'il dit d'une société algérienne en voie d'acculturation et qui n'hésite pas à raser les témoignages de son patrimoine pour emprunter les voies rapides et fallacieuses d'une modernité clinquante (en l'occurrence, l'édification d'une tour en lieu et place de la maison andalouse). Impéritie et concussion des "élites" se donnent la main pour engranger le maximum de profits en un minimum de temps. La lutte de Mourad ne peut alors être que celle de David contre Goliath (le thème du livre ne peut que rappeler celui du très beau film Aquarius, présenté à Cannes en 2016. Brésil et Algérie, même combat !). La maison andalouse est aussi un roman historique qui remonte au XVIe siècle avec la figure de

Sid Ahmed ben Khalil, dit Galileo el Rojo, qui s’est réfugié à Alger après avoir miraculeusement échappé à la mort. C'est son manuscrit, qui raconte ses années "d'exil", sans puis avec son aimée Soltana, qui crée le lien avec l'époque contemporaine. Ses écrits nous content le sort des morisques et des marranes, au temps de l'inquisition. C'est aussi l'occasion de croiser un certain Miguel de Cervantes, ancien militaire mais pas encore auteur. En remontant le temps, le récit de Waciny Laredj évoque cinq siècles de l'histoire tumultueuse de l'Algérie. La maison andalouse a survécu à tout mais que pourra t-elle faire face au capitalisme sauvage ? Poser la question, c'est déjà donner la réponse.
Lien : http://cin-phile-m-----tait-..
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Les Ailes de la reine

Les ailes de la reine est un portrait de femme magnifique dans un contexte sombre et désespérant. L'histoire se passe en Algérie, au moment où le pays bascule sur fond de guerre civile. Myriam est danseuse, elle est belle, exigeante envers elle-même et envers le monde. Elle assiste à l'effondrement de son pays, à l'enfermement des hommes de son peuple dans un dogmatisme étroit et rigide. Elle aime la vie, la beauté, la liberté, l'intelligence, et elle se bat avec ce qu'elle est contre l'obscurantisme. Le narrateur la soutient dans sa lutte. Il est éperdument amoureux d'elle. L'écriture est dense, vive, en totale adéquation avec le sujet : l'émotion est omniprésente. A travers l'histoire de cette danseuse extraordinaire, l'auteur dresse le portrait d'un peuple à un moment tragique. Il est question d'espoir et de désespoir, de courage et de lâcheté, de rigidité et de danse, de liberté de pensée et de censure. C'est un hymne à la vie teinté d'amertume et de colère. A lire absolument !!!
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La maison andalouse

Récit historique ou chronique actuelle, ce roman cumule ces deux facettes littéraires, avec ses va-et-vient entre le XVIe siècle et nos jours, relatant des luttes de ces deux époques, différentes bien sûr, mais chacune vouée à des revers historiques et sociaux.

Mourad Basta, dit ‘ammi (mon oncle), est un vieil homme qui vit seul dans les dépendances (la « résidence du personnel ») d’une demeure plusieurs fois centenaire, et de style andalou, proche d’Alger. Mourad est un descendant de Sid Ahmed ben Khalil, alias Galileo el Rojo, un morisque (musulman christianisé après l’accès au pouvoir d’Isabelle la Catholique). Galileo a pris les armes contre les occupants chrétiens, a été battu, puis chassé de l’Espagne andalouse par les tribunaux de l’Inquisition, en 1570. Galileo et son épouse marrane Soltana ont alors fait construire la maison andalouse, sur le modèle d’une demeure de Grenade.

L’ancêtre de Mourad n’a pas seulement légué cette merveille architecturale, il a aussi rédigé un journal continué par ses descendants, constituant un manuscrit précieux rédigé dans une langue secrète, l’aljamiado (langue hispano-romane de l’époque, transcrite dans l’alphabet arabe). La quête de ce manuscrit, perdu et retrouvé en France à la BNF, est l’objet de recherches complexes. Il finit entre les mains de Mourad qui ne veut pas s’en séparer, comme une preuve de sa légitimité comme occupant de la maison andalouse. En effet, le terrain occupé par la maison et son verger est convoité par des entrepreneurs qui veulent y édifier une très haute tour avec habitations et commerces sur un modèle très occidental et très capitaliste.

Abandonné par la quasi totalité des ses héritiers, soutenu par un seul de ses petits fils, Salim, par un journaliste intègre, Youcef, menacé et ciblé par des tueurs, et par Sika, une jeune étudiante, d’ascendance morisque comme lui, Mourad entreprend sa lutte acharnée et perdue d’avance contre la fripouille ambiante et sans scrupules que sont les promoteurs immobiliers véreux soutenus par une administration corrompue et des politiques dévorés par l’ambition.

Ce livre, richement documenté, parfaitement bien construit, jamais ennuyeux, alterne des chapitres d’époques différentes, qui constituent des allers-retours entre les deux périodes du récit, et survole les siècles entre ces périodes avec des occupants de toutes sortes sous les tutelles ottomane puis française, durant laquelle d’ailleurs la maison andalouse devint la première mairie d’Alger.

Surtout ce roman est un plaidoyer plein de subtilité, de nostalgie aussi, pour une société qui intègre toutes ses dimensions historiques et culturelles, dont l’héritage andalou, l’apport des juifs, la contribution française. Cela sans lourdeur, en respectant les codes du roman. C’est aussi un plaidoyer intransigeant, encore que présenté avec habileté, contre les dérives politiques qui touchent l’Algérie, contre le laminage du faible par le fort, contre la recherche effrénée du profit qui ne profite qu’à une minorité, contre la caste bureaucratique souillée, contre le risque islamiste aussi, même si l’auteur appuie peu dessus.

On sent Waciny Laredj enthousiasmé par la rencontre des cultures qu’il promeut, également par la rencontre des générations : se reporter à ce très beau chapitre où des lycéens visitent avec une curiosité détonnante la maison andalouse à l’occasion de la Journée du Patrimoine. Quel espoir pour le futur !
Lien : https://lireecrireediter.ove..
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Les Balcons de la mer du Nord

Yacine, sculpteur algérien, se résout après de nombreuses années de doutes et d’hésitations, à l’exil. Tous les membres de sa famille et de trop nombreux amis sont morts, le plus souvent assassinés ou se sont suicidés. A la faveur de l’invitation d’un musée d’Amsterdam, il décide donc de partir. Il espère surtout y retrouver l’amour de sa vie, Fitna, qui lui avait donné rendez-vous vingt ans plus tôt. J’ai beaucoup aimé le thème du livre mais pas la façon dont il a été écrit. Le récit est constitué de nombreux et très (trop pour moi) monologues intérieurs. J’ai fini par m’ennuyer.
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Le livre de l'émir

L’intrigue est séduisante : le premier roman inspiré de la vie de l’émir Abdelkader, grande figure de la résistance algérienne pendant la guerre de colonisation française entre 1830 et 1847, et son amitié avec Mgr Dupuch, premier évêque d’Alger.



Tout commençait bien, avec une structure fragmentée mais agréable à suivre (des chapitres qui alternent entre l’enterrement de Mgr Dupuch, les rencontres entre ce dernier et Abdelkader quand l’émir est emprisonné en France et que l’évêque fait tout pour le libérer, et l’épopée de l’émir entre 1830 et 1847), des descriptions poétiques, des personnages attachants avec de grandes valeurs humaines…



Mais ce roman est vite devenu lassant et la lecture ardue. L’aspect poétique cède sa place à des dialogues alambiqués et artificiels ; les personnages parlent comme des livres, et ce sont toujours des paragraphes entiers ! Les discussions pseudo-philosophiques sont surfaites, et certains aspects complètement irréalistes : ainsi Mgr Dupuch met plusieurs années à écrire une lettre à Napoléon III (pourquoi avoir changé la vérité historique, puisqu’il a en réalité écrit un livre, ce qui est beaucoup plus cohérent ?)



L’intrigue est d’une complexité effroyable, avec des centaines et des centaines de personnages, qui sont tous nommés comme si on les connaissait depuis deux cents pages alors qu’ils viennent d’apparaître et que la plupart ne ressortiront jamais ! (et à côté de cela, des personnages comme lalla Zohra sont systématiquement suivis de leur fonction, ici « la mère de l’émir » : au bout de la centième fois on commence à le savoir !)

Le texte est truffé de termes locaux dont aucun n’est expliqué, et le récit est parsemé de descriptions techniques de batailles et de stratégies militaires : personnellement je n’ai rien compris au déroulé de la guerre…



En bref, les 50 premières pages et les 150 dernières passent encore, l’intrigue est alors plus ou moins fluide et agréable à suivre, mais tout ce qu’il y a entre les deux est à mon sens ennuyeux et plein de longueurs… Ce pavé de 600 pages en aurait mérité 300 de moins !



Le seul point positif que je retiens de ma lecture est l’aspect historique, puisque ce roman est très bien documenté et m’a permis de découvrir une phase méconnue de l’Histoire et les grandes figures que sont l’émir et Mgr Dupuch.
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