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Citation de Alfaric


Je pensais alors à Julianus et son camp de tribus mêlées, de l’autre côté du fleuve. Qu’allait-il décider maintenant que Rando était mort ? Je n’éprouvais plus aucune haine envers lui, et les souvenirs de notre passé commun s’estompaient peu à peu dans le brouillard de ma mémoire. Tout cela s’était déroulé si longtemps auparavant. Après tout, il demeurait ce Julianus que j’avais aimé comme un ami véritable. Il était une partie de ma vie, une partie de ma vie, une partie de moi-même.
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