L’amour d’une mère pour son enfant n’est ni bouddhiste, ni chrétien ni d’aucune autre qualification. C’est l’amour maternel. Les qualités ou les défauts, les sentiments humains comme l’amour, la charité, la compassion, la tolérance, la patience, l’amitié, le désir, la haine, la malveillance, l’ignorance, la vanité etc… n’ont pas d’étiquette sectaire, ils n’appartiennent pas à une religion particulière. Le mérite ou le démérite d’une qualité ou d’un défaut n’est ni augmenté ni diminué par le fait qu’on le rencontre chez un homme qui professe une religion particulière, ou n’en professe aucune.