À l’armée, tout était affaire de lâcher prise. Chaque décision, chaque ordre, chaque mission, chaque rapport de bataillon, chaque session d’entraînement. Si votre colonel vous ordonnait d’installer des T-walls au sein du camp, vous lâchiez prise – même si vous pensiez qu’ils auraient eu plus d’utilité sur le terrain. Le bon côté, c’était que vous apparteniez à une structure en laquelle vous pouviez avoir confiance, avec des règles que vous n’aviez pas besoin d’inventer.