« Pour l’occuper, ma sœur aînée lui donnait des pommes de terre à peler. Et elle pelait, pelait, comme pour un régiment. Nous apportions tous nos patates chez ma sœur, la dame du dessus faisait pareil, de même que quelques voisins, car lorsqu’on avait essayé de lui faire peler une seconde fois un seau de pommes de terre déjà pelées, elle l’avait remarqué. » p. 11