Pour moi, retourner à Dunetown, c’était pire que d’aller au Viêt-nam. Je ne savais pas vraiment ce qui allait me tomber dessus, en Indo. Mais Dunetown, je connaissais...
Quand l’avion amorça sa descente, les souvenirs commencèrent à me harceler. Des souvenirs que j’avais essayé d’oublier pendant pas mal d’années. J’avais vécu ici le dernier été de mon existence. Après, tout était devenu automnal. Du vert, je suis passé aux couleurs de transition, aux nuances de la mort.