- [...] Vous arrêtez les gens, et pour vous c'est la routine. Vous ne pouvez savoir ce qu'on ressent lorsqu'on est dans sa chambre, en sécurité, heureuse, en paix avec la terre entière, et que l'instant d'après on vient vous chercher. On vient chez vous, on vous emmène devant tout le monde, on vous traîne dans la rue jusqu'au bureau de police, et là on vous apprend que vous avez tué un homme !