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4.1/5 (sur 5 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Lincoln, Illinois , le 11/01/1924
Mort(e) à : San José, Californie , le 05/10/2010
Biographie :

William Joseph Johnston est un écrivain américain, auteur de roman policier et de novélisation.

Il participe aux combats lors de la guerre du Pacifique pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est opérateur radio et mitrailleur dans l’armée américaine.

À son retour aux États-Unis, il travaille comme DJ pour la station de radio WTAX, comme reporter pour la station de radio WJOL de 1947 à 1950, puis comme agent de presse de 1950 à 1960 pour l’agence de relation publique de Tex McCrary.

Il devient ensuite écrivain indépendant. Il travaille pour la presse et publie son premier roman en 1960, "The Marriage Cage", un roman policier humoristique qui est finaliste du prix Edgar-Allan-Poe du meilleure premier roman en 1961.

Il signe surtout de son nom ou des pseudonymes Susan Claudia, Ed Garth, William Howard, Willa Jay, Heather Sinclair et Alex Steele diverses novélisations de feuilletons télévisés et de films.

Son roman "Les Délirants" (Asylum) est une novélisation du film "Asylum" (1972) de Roy Ward Baker, dont le scénario original est signé par le romancier et scénariste Robert Bloch.

"Klute" est basé sur le film éponyme, "Klute", réalisé par Alan J. Pakula en 1971, avec Jane Fonda et Donald Sutherland.

Après avoir pris sa retraite comme écrivain, il suit des cours pour devenir barman. Il ne trouve pas d’emploi en raison de son âge et ouvre son propre bar à Massapequa dans le comté de Nassau. Il prend sa retraite définitive à San José en Californie où il décède à l’âge de 86 ans.
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"Asylum" (1972), avec Peter Cushing et Britt Ekland - Trailer


Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
L’analyse de la doctrine de l’auteur montre que le don de la grâce porte la nature humaine à sa perfection en faisant participer l’homme à a vie divine et en faisant de lui le temple de l’Esprit Saint.
Ainsi l’homme parvient à posséder, par grâce, la vie qui est celle de Dieu par nature.
Cette vie arrive jusqu’à l’homme au travers du Christ, qui est la Seconde Personne de la Sainte Trinité.
E devenant homme, le Verbe a fait entrer l’espèce humaine dans la vie trinitaire de Dieu.
Il est lui-même non seulement un membre de la famille trinitaire, mais il partage ce divin privilège avec tous les croyants.
(page 296)
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Ce que je suis et ma manière d’être, selon la nature et selon la grâce, je le tiens de toi Seigneur, et cela est toi.
(page 284)
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La grâce ne détruit pas mais perfectionne.
Elle se mêle à la nature pour former un tout harmonieux.
(page 284)
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C’est en cela que réside toute la différence qu’il y a entre la véritable contemplation et la détente narcissique à l’intérieur de son propre moi.
La vraie contemplation aboutit à une plus grande liberté d’action et rend en effet l’action plus spontanée, plus aimante et plus efficace.
Le retrait narcissique s’achève dans la confusion, la paresse, l’égocentrisme, la susceptibilité et autres conséquences morbides du même genre.
On reconnaît l’arbre à ses fruits… (Thomas Merton)
(page 15)
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Les auteurs japonais ont l’habitude de distinguer le Zen du Bouddhisme Zen.
Ce dernier est une religion comprenant un corps de doctrines, une philosophie de la vie et des maximes pour sa mise en pratique.
D’un autre côté, le Zen se contente « d’être ».
Le cœur du Zen est l’éveil, ou satori, dont nul ne saurait parler, à moins d’en avoir soi-même l ‘expérience, et même dans ce cas, on ne saurait en dire beaucoup.
(page 41)
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D’après la philosophie du Zen, nous sommes beaucoup trop asservis à la façon conventionnelle de penser, qui est dualiste d’un bout à l’autre.
Aucune « interpénétration » n’est permise, aucune fusion d’opposés n’intervient dans notre logique de tous les jours. (...) Mais le Zen bouleverse ce plan de pensée et lui en substitue un nouveau où n'existent ni logique ni disposition dualiste des idées.
(page 45)
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" Prends garde, je t’en prie, à ne pas te fourvoyer ici, car plus on approche de la vérité, plus il faut se garder de l’erreur " (Nuage, ch. 34, p. 140).
C'est précisément au moment où l'on se rapproche le plus de la vérité qu'il importe de remarquer qu'il y a l'épaisseur d'un fil d'épée entre les sommets de la sagesse et les abîmes de la sottise.
(page 28)
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Regarder le monde et n’y voir que Dieu constitue la vérité, car celui qui voit la créature comme séparée de son créateur se trouve dans une ignorance abyssale ; et c’est à cette vision d’un monde empli de Dieu que l’auteur nous conduit.
(page 229)
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Dieu est uni à l’intellect par la foi ; à la mémoire par l’espérance ; à la volonté par la charité…
(page 224)
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Première chose, il y a le fait que la vie mystique requiert un appel, une vocation.
(page 27)
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