Dans les polars, les types se débrouillent toujours pour faire ce qu'il faut quand il faut, perdent pas leur temps en initiatives imbéciles, même si c'est pour courir à la catastrophe. La réalité, me rendais-je compte, est infiniment plus brouillonne et désordonnée. Elle part dans tous les sens, et nous, pauvres pommes, nous faisons ce que nous pouvons, c'est-à-dire surtout des conneries.