La lutte était silencieuse, car les socialistes ne tenaient guère à montrer leur faiblesse ; quand au Gräfische, il fournit une explication officielle des licenciements en disant qu'il s'agissait de « réductions saisonnières de personnel. Les syndicats libres organisèrent bien un grand rassemblement en juillet et l'on s'attendait à ce qu'ils prennent position sur la question. Mais, au lieu de cela, les orateurs insistèrent simplement sur la nécessité de défendre la République et de faire triompher le socialisme.