Le freudisme n’a pas seulement fait la fortune des psychanalystes, mais aussi celle de certains critiques littéraires, qui expliquent le génie de Dostoïevski par le fait qu’il avait reçu une gifle à l’âge de trois ans, et la folie de Van Gogh par celui que sa nourrice n’avait jamais voulu lui laisser téter que son sein droit.