Nationalité : France
Né(e) à : Tarbes , le 22-05-1964
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Né(e) à : Tarbes , le 22-05-1964
Biographie :
Xavier Japiot, naturaliste professionnel autodidacte et chargé d’études biodiversité à la Ville de Paris, expertise la vie sauvage depuis près de trente ans. Des biotopes tempérés, désertiques et tropicaux aux espèces marines, terrestres et dulcicoles, fossiles et actuelles, toutes les disciplines liées aux sciences de la vie et de la Terre le passionnent depuis l’âge de 4 ans.
Xavier Japiot, naturaliste professionnel autodidacte et chargé d’études biodiversité à la Ville de Paris, expertise la vie sauvage depuis près de trente ans. Des biotopes tempérés, désertiques et tropicaux aux espèces marines, terrestres et dulcicoles, fossiles et actuelles, toutes les disciplines liées aux sciences de la vie et de la Terre le passionnent depuis l’âge de 4 ans.
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Platch ! Chaque jour, un cheval défèque près de 10 kg de crottin en pelotes bien rondes. Fraîches, ces crottes ont une odeur herbacée non désagréable. Elles sont composées de brins d'herbe !
Plus de 700 espèces d’algues sont présente en France métropolitaine. […]. Les algues ne sont pas des plantes. Dans une algue, toutes les cellules sont identiques, seule la fonction diffère. Une algue n’a pas de racine mais des crampons qui l’aident à se fixer à son support, pas de tige mais un stipe qui ondule dans les vagues, et pas de feuilles mais des frondes ouvertes vers la lumière qui, via la photosynthèse, permettent son alimentation.
Montre-moi tes fèces, je te dira qui tu es !
OBSERVER LA VIE SUR LE RIVAGE
Les plantes et animaux marins qui vivent sur le bord de mer sont le plus souvent soumis à des marées de plus ou moins grande amplitude. Cette zone de balancement des marées est appelée l’estran. La faune et la flore fixées, qui habitent dans ce type de milieu sont parfaitement adaptées à celui-ci puisqu’il leur faut à marée basse, être capable de résister à la dessiccation.
Les plantes et animaux marins qui vivent sur le bord de mer sont le plus souvent soumis à des marées de plus ou moins grande amplitude. Cette zone de balancement des marées est appelée l’estran. La faune et la flore fixées, qui habitent dans ce type de milieu sont parfaitement adaptées à celui-ci puisqu’il leur faut à marée basse, être capable de résister à la dessiccation.
LES DANGERS BIOLOGIQUES
Par prévention, ne touche pas ce que tu ne connais pas ! Certaines espèces sont coupantes (huitres), d’autres sont venimeuses (vives, rascasse, raie, méduses, anémone de mer, vers de feu) ou peuvent occasionner des pincements (crabes, homards) ou des morsures (congres, murènes), voire des piqûres (oursins) ou des électrocutions (raies torpilles).
Par prévention, ne touche pas ce que tu ne connais pas ! Certaines espèces sont coupantes (huitres), d’autres sont venimeuses (vives, rascasse, raie, méduses, anémone de mer, vers de feu) ou peuvent occasionner des pincements (crabes, homards) ou des morsures (congres, murènes), voire des piqûres (oursins) ou des électrocutions (raies torpilles).
Une éponge peut faire transiter chaque jour jusqu'à 90 000 fois son volume en eau et retient 90% des bactéries. Elle "lave" la mer d'une partie de ses micro-organismes.
[p89]
[p89]
Les cloportes appartiennent à la microfaune, qui se nourrit de matière organique morte qu'ils puisent directement dans la litière : végétaux en décomposition, algues, bactéries, mycélium (moisissures). Ils préparent le travail pour d'autres organismes plus petits qu'eux chargés de l'étape suivante de décomposition.
Les cloportes ne représentent aucune menace pour les plantations.
Les cloportes ne représentent aucune menace pour les plantations.
Enfant, j'ai ainsi tenté l'expérience de placer une dizaine de femelles dans un bocal sur ma table de chevet pour essayer de lire un livre : peine perdue, la lumière est bien trop faible. En effet, il faudrait six mille lampyres vers luisants pour obtenir la clarté d'une bougie, soit un lux.
Muni d'un vue hors pair lui permettant d'observer un pigeon en vol à plus de 6 kilomètres, il se rapprochera à grande vitesse au-dessus de lui pour fondre sur sa proie en piqué pouvant atteindre jusqu'à 389 kilomètres à l'heure. Le faucon pèlerin est l'animal le plus rapide du monde.
Pour le différencier du merle noir, c'est très simple : le merle sautille alors que l'étourneau marche ; en vol, le merle évoque un avion (ailes en T) alors que l'étourneau rappelle un mirage (ailes triangulaires).
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