Dehors ! A quelques mètres du grand sapin, cette grande masse noire sur la pelouse... Elle n'était pas là hier !
Impossible d'avaler ma salive. Je happe une goulée d'air et esquisse quelques pas vers la fenêtre, aimantée malgré ma peur.
C'est un homme. Ou plutôt, un corps d'homme, allongé dans l'herbe.
Le souffle court, j’essaye de faire parvenir cette information jusqu'à mon cerveau. Mais j'ai l'impression d'être vide. Plus rien ne fonctionne normalement en moi. J'ai dû disjoncter.