Quand je serai mort, je veux que l’on m’enferme dans une bouteille géante. Dans ma bonbonne remplie d’alcool, les pores ainsi saturés d’ivresse, je flotterai, pour la postérité. Plus tard, lorsque le dernier étudiant aura assisté à l’ultime leçon d’anatomie, on balancera le flacon dans la Tamise. Roulant sur les vagues, je confierai mon message à l’océan et finirai échoué sur une plage, attendant mon libérateur.
Je n’exaucerai pas ses vœux.