Tout le long de notre route, nous récupérons des choses non biodégradables qui flottent à la surface de la mer. Sur Bilbo, nous avons une poubelle pour les chose biodégradables, que nous jetons à la mer quand elle est pleine, et une autre pour le plastique. Nous en avons une troisième pour les déchets qui trainent. Chaque fois que nous en voyons un, nous mettons le cap dessus, quitte à perdre du temps ; c'est naturel et instinctif ! Une fois qu'on l'a remonté (vieux bidon, sac plastique ...), on le met dans le sac. Eh bien je vous le dis, notre sac grossit, et nous en aurons sûrement besoin de deux, de trois, de quatre ou plus ! La mer n'est pas vide, elle est pleine d'ordures ! Si tout le monde agissait comme nous, la mer et la terre redeviendraient très lentement ce qu'elles étaient avant, verdoyantes et riches en vie ! Et puis, un sac en plastique repêché, c'est la vie d'une tortue ou d'un dauphin en plus, car ils avalent sans le faire exprès toutes les saletés qui flottent, et ils en meurent ! - ANTONIN 13 ans
Dans le ciel étoilé, un avion passe ; il me rappelle la civilisation moderne. Souvent, je pense aux anciens navigateurs, aux découvreurs du XV° siècle qui partait tête baissée, sans savoir ce qu'ils allaient trouver ... Comme si ça ne suffisait pas, certains croyaient encore que la terre était plate et qu'ils risquaient de tomber dans un gouffre sans fond ! Je les admire beaucoup ... - FRANCK 16 ans
quand on mange un gâteau à dix, je l'apprécie tellement que je rêve d'en manger plus. Mais quand je me retrouve tout seul devant un gâteau entier, je n'ai plus personne pour le partager avec moi, et du coup j'ai plus très faim. On se fait beaucoup plus plaisir à manger un petit peu à plusieurs que tout seul à manger beaucoup plus ! - ANTONIN 13 ans