Avant la loi Veil donc, les femmes avaient vécue des blessures, des minutes, des heures de torture, des jours de désespoir, parfois des mois d'angoisse. Elles avaient eu l'incroyable courage de l'affronter, il fallait que l'aie le courage de l'écouter. C'est exactement ce qu'on nomme le DEVOIR DE MÉMOIRE.