Il n’y a pas de mérite à se prêter à l’exercice d’écriture que je me propose (par malheur de vivre) : il est bien connu que les êtres insignifiants s’adonnent volontiers à l’exercice artistique, par morale, par ennui. Et que l’art aime le vide, qu’il est comme un bijou autour d’un cou de cire ou de marbre, une coquetterie du néant.